1er Août 2018 3ème jour de la Décade du Lapin ( Lune de l'Esprit ) -
Les légendes de Kirin Tor
La section Célébrités vous permet de voir les personnages les plus populaires parmis tout ceux inscrits, ceux dont les récits ont le plus marqués, ceux qui ont recus le maximum de points.



N°15 - 23 points

Jerika

Age : 28
Sexe : Femme
Race : Humain
Faction : Alliance
Formation : Voleur
Description : La jeune femme semble avoir dans les vingt ans. Ses cheveux bruns sont coiffés à la va-vite, son regard gris acier ne semble refléter aucune émotion, et vous jauge de façon plutôt froide. Une nouvelle lueur violette hante maintenant son regard...

Lorsque ses cheveux sont attachés, la nuque présente une rune ou un glyphe brillant d'une lueur violette, gravée à même la peau, manifestement nécromantique.

Une fine cicatrice orne sa pommette gauche, ne gâchant pas l'harmonie de ses traits.

Depuis peu elle arbore un bras gauche entièrement tatoué. Sur le bras et l'épaule, une dague stylisée, avec, autour de la garde, une fleur de digitale enroulée. Le tout est empêtré dans des ronces qui courent jusqu'au poignet, enserrant l'avant-bras, puis jusque sur la nuque, débordant sur l'omoplate et le haut de la poitrine, ce qui est évidemment rarement visible. Le tout a été effectué par une main de maître, si réaliste que les ronces paraissent vivante, étreignant Jerika dans leurs épines mortelles.

Dague et épée pendent à sa ceinture, à portée de la main, les lames bien aiguisées et de toute évidence soigneusement entretenues.

En ville elle sera toujours masquée. Elle semble froide et calculatrice, le tabard qu'elle porte de temps à autre peut laisser croire que ce n'est pas qu'une impression, décoré aux armoiries facilement associables à Ezul Morthis.

Sa voix, habituellement douce, presqu'un murmure, est calme et posée, trahissant sa nature plutôt réfléchie, contrastant avec la manière de parler plutôt directe et sans gêne.[color=red]

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N°16 - 22 points

Eloise

Age : 27
Sexe : Femme
Race : Humain
Faction : Alliance
Formation : Démoniste
Description : Mon histoire, ma vie, rien de tout cela n'est réel, quand je regarde derrière moi je ne vois qu'un amas de mensonges, une vie de manipulation mais au fond quand j'y réfléchis "qui a été manipulée ?" ...

Voici ma vie .. tel qu'elle s'est réellement déroulée ... non pas celle que mes amis ou mon frère vous raconterons, il n'y a pas de fioritures pas de poudres aux yeux, juste une jeunesse qui s'est enfuie il y a maintenant trop longtemps.

Voici l'histoire d'Oselie et Eloise Vanderzar ...

Nous sommes nées il y a maintenant 26 ans, un petit rayon de soleil devait venir illuminer la famille Vanderzar, le petit Aekol à peine âgé de deux ans attendaient avec impatience la naissance de sa petite sœur. Oselie et Eloise ont vues le jour un matin d'automne, malgré la joie apportée par les naissances, une de nous deux n'était pas désirée.

Les faibles sources de revenus de nos parents ne leur permettaient pas de pouvoir nourrir trois enfants. Au termes de longues discutions au sein de la famille et aux prix de longues soirées de pleures, il fut convenu que la jeune Eloise fut confiée au vénérable Yorge Cardisse, moine de l'abbaye du Northshire.

Durant cinq années, Oselie et Aekol furent élevés par leurs parents, notre père était un valeureux combattant au service de la lumière et notre mère restait au foyer pour s'occuper de nous. L'amour qui les unissait avait été entamé la nuit ou la jeune Eloise fut abandonnée, ce mal consuma leur amour tel un poison les dévorant de l'intérieur, jusqu'à la rupture.

Père quitta la maison avec mon frère, nous laissant seules. Nous vivions dans l'ancienne Stormwind sans le moindre sou, la vie était chère et maman du se résigner à chercher un travail.
Tous les soirs je les passais enfermée dans ma chambre dans le noir, pendant que maman sortais travailler, elle me demandait de ne pas sortir pour ma sécurité, cloisonnée entre quatre murs cherchant le sommeil au milieu des cris et gémissements. Ce n'est que bien plus tard que je compris ce qui se passait durant toutes ses nuits ou j'étais témoin de sa déchéance.
Certes nous n'étions plus jamais dans le besoin, mais je perdis une partie de mon humanité.

Cette situation dura jusque le début de la guerre, elle était à notre porte, nous sentions le danger approcher peut à peu, c'est à ce moment que notre père fit son retour malgré les années, il décida de venir nous chercher toutes les deux afin de nous mettre à l'abris. Nous étions réunis à nouveau et nous partîmes pour Lordaeron, cela nous préserva au début, mais scella notre sort à jamais avec l'avènement de la Légion Ardente.

Suite au retour d'Arthas et l'assassinat du roi nous quittâmes la cité dans la précipitation rejoignant des convois désertant la cité.
Notre convois fut intercepté par la Légion, les démons nous attaquaient de toutes parts, mon père et quelques courageux guerriers nous défendaient tant bien que mal, mais le manque d'entraînement des paysans ne réussit pas à se défaire de nos opposants, j'assista au massacre de dizaine de personnes ... dont mes parents.

J'étais seule étendue au milieu des cadavres, ensanglantée, la morsure du soleil me brûlait le visage, Aekol était debout devant moi, une branche de bois à la main pour essayer de me défendre, il fut balayé d'un seul coup de griffe du démon, celui ci s'avança vers moi psalmodiant dans un dialecte qui m'était inconnu.

Soudain la douleur, fulgurance intime de l'esprit violé par le chaos... exponentielle dans son intensité... il fait noir... seule... plus jamais... le souffle du vent obscur emmené par une requiem inconnu....

...le silence...

Je me suis alors réveillée dans une petite bicoque dans les bois, Aekol s'occupait de moi depuis quelques jours, soignant mes blessures, quelque chose avait changé, quelque chose avait laissé sa marque sur mon corps et mon âme.
Une petite pierre violette incrustée à la base de mon cou était le seul témoin des évènements de cette journée.

Une fois la guerre finie nous reprîmes la route de Stormwind, participant à sa reconstruction. Une fois celle-ci achevée, Aekol entreprit son paladinat et mue par une soif de connaissance inexpliquée j'entreprit ma formation de démoniste, avant de sceller mon destin dans le sang à jamais sur les marches de l'abbaye du Northshire.

---

Je ne suivrai pas le soleil dans sa course.
Je suivrai la lune dans sa chute.
Lacérant la terre, dévorant le soleil.

Violant la lumière ..."

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N°17 - 22 points

Elhoïnah

Age : 19
Sexe : Femme
Race : Humain
Faction : Alliance
Formation : Guerrier
Description : Elhoïnah ... Elhoïnah Holpekh, tel était le nom de la fille qui venait de naître dans la forêt des Pins Argentés, lorsque celle ci n'était pas encore souillées par le Fléau et les Réprouvés.
Elhoïnah menait une jeunesse tout à fait banal, une jeune fille dont les parents étaient fermiers.
La famille avait toujours de quoi manger, un toit sur la tête... Enfin bref, elle n'étais pas dans le besoin, même l'avenir d'Elhoïnah semblait lui sourire et lui tendre les bras.
Elhoïnah était une jeune fille, ravissante, belle, tout les jeunes hommes du voisinage ne voyait qu'elle, mais Elhoïnah ne semblait avoir d'yeux que pour un seul homme, un homme de bonne famille, les parents des deux amoureux avaient même acceptés que ceux-ci se marient.
Mais ... un beau matin, tout changea ...
Elhoïnah était partie dans les bois, avec son aimable chaton blanc qu'elle venait juste d'avoir, ramasser des champignons pour sa mère, tout allait bien, jusque là ... Mais des cris de terreur se firent entendre depuis les hammeaux de fermes.
Elhoïnah accourue, et là ... Quelle spectacle de désoliation, une horde d'étrange soldats tuaient tout ce qu'ils voyaient, on pouvait voir des groupes de soldats défendant tant bien que mal les paysans de cette étrange armée qui semblait grossir à vue d'oeil.
Elhoïnah prit le chemin menant à la ferme de ses parents à toute vitesse, ses parents étaient en train d'ammasser le plus de provisions possible, comme si ils se préparaient a fuir.

"_Elhoïnah, ma petite fille, il faut que l'on fuit et vite ! Pas le temps de prendre tes robes et tes parfums ... *la mère d'Elhoïnah la prit par l'épaule et lui força le chemin*

_ Mais ... mais ... *dit Elhoïnah ne comprenant pas trop ce qu'il se passait*

Un groupe de soldats arriva a toute hate.

_ Vite ! Ne restez pas là ! Des barques attendent les fermiers sur les plages de Tiristfal, hatez vous ! *dit le capitaine à la famille*

Mais, le groupe de soldats étaient poursuivi par l'ennemi qu'Elhoïnah ne conaissait pas encore ... Et là, elle pu apercevoir ces horribles choses qui fendaient sur eux tels des furies affamées.
Les soldats bradissèrent leurs armes et leux boucliers et se mirent en formation contre cette horde de déchainés.
la mère d'Elhoïnah prit sa fille dans les bras, la trainant le plus loin possible pour fuir, Elhoïnah était térorisée par ce qu'elle venait de voir, mais ... Ce n'était rien comparé à la suite.
Les soldats combataient à peine perdue l'ennemi qui semblait les submerger, le père d'Elhoïnah regardait les soldats qui se battait avec un sentiment d'impuissance, celui-ci ne tarda pas à empoigner une fourche qui trainait sur le sol et se rua vers les soldats pour les aider, Elhoïnah et sa mère crièrent de toute leur force pour le faire revenir, mais en vain.
Tout d'un coup, une vois tonitruante se fit entendre sur la colinne non loin, Elhoïnah et se mère pensèrent que c'était un mage du kirin Tor venant à leur secour, mais il n'en était rien ... Celui ci, d'une terrible voix rauque, fit sortit des cadavres du sols et les envoya sur le groupe de soldats et sur le père d'Elhoïnah.
Ceux-ci tombèrent, tous mort ... Mais le spectacle macabre n'était pas encore finit ... Le mage, de sa voix rauque, prononça encore une fois des formules tout en regardant son grimoire, les soldats morts ainsi que le père d'Elhoïnah se relevèrent d'entre les morts, se ruant à leur tour vers les deux femmes, celles-ci courirent, a toute jambe, le plus vite qu'elles le pouvaient ... Mais par chance, des nobles cavaliers passèrent par là et se mirent à combattre les morts-vivants, les deux femmes continuèrent a courir, elles avaient largement semées leurs poursuivant grace à la cavalerie, mais, même de loin, la voix rauque du mage raisona à nouveau ...
Aprés une terrible course, les deux femmes arivèrent aux plaines de Tiristfal, elles marchèrent, épuisées, triste, en sanglotant vers la côte.
Par chance, elles trouvèrent les barques, enfin ... la barque.
Et elles longèrent la côte vers le Sud... Des rumeurs disaient que Stormwind était en reconstruction aprés l'attaque des Dragons et de la Horde des Orcs.
Des jours passèrent ... jusqu'au matin, où aprés un dur someille, les barques échouèrent sur les plages de la Marche de l'Ouest.
Une patrouille de milliciens passèrent par là.

_ Hey ! Réveillez vous mesdames ! *dit l'un d'eux*
_Haaa ... la plus agée et morte ... De faim et fatigue on dirait ...*dit un autre*
_ Peut être la mère de le jeunne femme ...
_Allez ... Emmènons la petite à l'Abbaye ... On manque de soldats aprés tout ! Au moins, ça sera le mieux pour elle que de vagabonder dans les rues de Stormwind."
*L'un d'eux prie Elhoïnah sur ses épaules et l'emmena à l'Abbaye, les autres allèrent entérer la mère*

Gimsy Hoplekh : La mère de Elhoïnah, originaire de Baie-du-Butin, elle travaillait dans une taverne comme cuisinière, elle rencontra un splendide commerçant et s'en alla s'installer sur les terres du Nord avec celui ci.

Hölmerh Holpekh : Commerçant/fermier dans les terres du Nord, il rencontrit la mère de Elhoïnah (Gimsy) a Baie-du-Butin lors d'une visite marchande.Ils donnèrent naissance a Elhoïnah dans les Pins Argentés, dans leur modeste foyer, une ferme.



Pépé Holpekh : Petit Gnome ayant servit dans la flote du Kul'Tiras comme Cannonier, il receuilli Hölmerh qui trainait à l'époque dans les rues de Lordearon, il lui inculqua les valeurs du travails. Elhoïnah l'aimait beaucoup, mais depuis la Peste, elle n'a plus eu de nouvelles.


[Suite de l'hsitoire]

Elhoïnah se réveilla à l'Abbaye de Northshire, elle était vêtue de simple habits de paysan, elle était affamée et désorientée.
Un vieille homme rentra dans la chambre.

"_Déja réveillée mon enfant ?
_ Heu... oui oui. *répondit Elhoïnah sur un ton fatigué et appeuré*
_Voyons mon enfant, n'ayez crainte, je suis là pour vous aider.
_Je...je suis où ? Et où est ma mère ?!
_ Calmez vous calmez vous... Votre mère est ... morte... *il s'intérompit en voyant Elhoïnah tombée en sanglot*
_ *tout en sanglotant* Vous mentez ! Vous mentez !
_ pourquoi mentirais-je ? je suis un homme de foi, non un menteur. *Le vieille homme partit, laissant Elhoïnah sangloter seule dans la chambre*

Des jours passèrent, Elhoïnah restait à pleurer dans une chambre, un jour, le vielle homme revint.

_Bonjour mon enfant, il va falloir pour vous, quitter l'Abbaye, nous recevons chaque jours des personnes victimes elles aussi de la guerre, et l'Abbaye commence à être saturée. Pour vous évitez le vagabondage dans les rues, j'ai réussi à trouver un maître d'armes n'ayant pas d'élèves en ce moment, allez le voir demain matin, il sera au Goldshire, à l'auberge. Je vous accorde une nuit de plus ici, demain, vous devrez partir.

Elhoïnah ne dit mot, soupirant de tristesse.
Le lendemain matin, Elhoïnah quitta l'Abbaye, le matin était frais, elle marcha dans les bois, en direction du Goldshire, elle avait peur des grondement des loups qu'elle entendait, des ombres se cachant derrière des arbres.
Elhoïnah arriva, aprés une heure de marche, au Goldshire, il y'avait une foule, c'était jour de marché, Elhoïnah, affamée qu'elle était, réussi a voler des pommes sans se faire remarquer et les mangea toute d'un trait.
Elle décida de rentrer de l'auberge pour trouver l'homme en question, mais celle-ci était remplie de monde, des soulards, des paysans ivres, des femmes trés peu recommandable, des soldats en manque de femmes, et ça chantait a tue tête, ça criait, ça dansait... Enfin, pas un endroit pour les petite fille comme Elhoïnah.
Justement, Elhoïnah vit un homme balafré, portant un cache-oeil, de forte corpulence, chauve et le regard mauvais.
Elhoïnah s'approcha de cet homme.

_ Heu... sire, vous êtes maître d'armes ?
_ Dégages gamine, je n'ai pas de temps à accorder aux enfants...
_Mais... Mais c'est père Héstain qui m'envoie pour que je vois un maître d'armes qui puisse m'enseigner quelque chose... pour pas finir dans les rues qu'il m'a dit...
_ *soupir et commença à s'énerver* Pourquoi ce vieux sénile m'evoie une pauvre gamine de ton genre ?!
_*intimidée, n'osant dire mot* ... Il m'a dit que vous avez une dette envers lui ... Alors il voulait que vous... vous m'enseignez quelque chose.
_Ce que je vais t'enseigner petite, c'est de te faire taire à coups de batons si tu continues à m'agacer !

Elhoïnah sortit en courant de l'auberge en pleurant, sous les rires des ivrognes.
Elhoïnah passa toute la journée à vagabonder dans les bois. Le soir venue, elle était revenue au Goldshire, et avait réussi a s'introduire dans la cave pour y dormir ainsi qu'a voler quelques morceaux de viandes pour se nourir.
La nuit tombée, elle s'endormit dans un coin sombre dans la cave. L'auberge était calme.
Le soleil se leva, le matin arriva. L'aubergiste descendit justement à la cave pour y prendre un tonneau et vit Elhoïnah.

_Que fais tu là toi ?! *il saisit Elhoïnah par le cou et la traina jusqu'en haut pour la jeter en plein milieu de la taverne, l'homme balafré était là*
_Mais... mais ... *Elhoïnah se mit à pleurer*
_Ha ! J't'y prend sale petite voleuse ! J'm'en vais t'ammener auprés d'la garde moi ! Qu'on te jette en prison ! j'te l'dis ! *cria l'aubergiste sur un ton trés énervé*
_ Mais ... *Elhoïnah continuais à pleurer*
*L'homme balafré se leva et saisit Elhoïnah par l'épaule*
_ Laissez aubergiste, je m'en occupe, tenez *il jette une bourse remplie de pièces d'argent à l'aubergiste*
_Hoooo... Merci bien Maître Freth. *il pointe du doigt Elhoïnah* Petite, j'te l'dis, t'as d'la chance !
_Bien...Maintenant gamine, suis moi. *Freth pris Elhoïnah par l'épaule et l'emmena prés de la forge* Bon... Je vais t'entraîner car je suis redevable à ce vieux Hestain ! Alors écoutes car et suis bien mon enseignement car je ne me répèterais pas !
_Heu... *Elhoïnah sèche ses larmes* oui oui ...
_Déja, d'une part, arrêtes de chialer !
_Heu ... oui. *sèche encore une fois de plus ses larmes*
_*Freth perdis patiente et mis une violente giffle à Elhoïnah* Quand je dis, tu le fais tout de suite !

Des mois passèrent... des années passèrent... Elhoïnah eu ses 14 années.

_Alors Elhoïnah... Revoyons ce que je t'ai enseigné... En garde petite !
_*Elhoïnah portais une légère armure en maille, un petit glaive et un vieux bouclier en bois, tandis que Freth, lui, était vêtue d'une belle armure en plaque et d'une épée à deux mains faisant deux fois la taille d'un grand homme* Bien... *se mit en garde*
_Ne te combre pas lorsque tu te mets en garde ! Tiens toi droite bon sang ! *le combat commença*

Freth engagea le combat, Elhoïnah parait les coups tant bien que mal.

_Ne recules pas ! Attaque que diable ! *lève son épée en l'air qui s'abbat sur le bouclier d'Elhoïnah et le vit voler en éclat* Rhaaaaa ! Mais tu es vraiment stupide, je me demande vraiment pourquoi ce vieux Héstain voulait que je t'enseigne l'art de se battre ! Tu ne sais vraiment rien faire !
_ Mais ... maître... *recommença à pleurer*
_Je t'avait dit d'arêtez de chialer bon sang ! *il donna un violent coup de pied à Elhoïnah, ce qui la fit tomber par terre, dans la boue.* Maintenant... Va dormir à l'auberge, ta vue commence à me donner la nausée ! Et plus vite que ça !

Elhoïnah s'ensuit en courant jusqu'a l'auberge. Des mois passèrent, des années passèrent.
Freth réveilla Elhoïnah tôt le matin et la traina dehors.

_Allez, réveille toi petite sote ! Prend ce bouclier et cette épée ! Y'a des défias dans la zone, me demande pas qui ils sont et contente toi juste de me raporter leurs têtes ! N'éprouves aucun sentiment et tues les, c'est tout, tu as bien compris ?!
_Oui Maître. *Elhoïnah pris le bouclier et l'arme, et combatit des Défias toute la journée durant*

Le soir arriva... Elhoïnah revint à l'auberge, fatiguée, l'arme et le bouclier couvert de sang et un sac qui avait pris le tein rouger sang.
Elhoïnah jeta le sac au pied de Freth.

_ Voila Maître... Treizes têtes, c'est tout ce que j'ai pu avoir...
_ *a moitié saoul* Hahahaha ! Ces brigans ont du être étonnés de voir qu'une gamine comme toi savait se battre ! Allez, boit ça ! *Il tend une chope à Elhoïnah*, allez bois je te dis !
_ Mais... Mais ...
_ Bois je te dis ! *il giffla encore une fois violemment Elhoïnah* Tu vas boir idiote ?!
_ Heu... *se retant de pleurer* Oui ... Oui ...*Elhoïnah prit la chope et la bu d'un coup sec, grimaçant*
_ Haha ! Au faite petite idiote ... Y'a le vieux Héstain qui veux te revoir ! il a des choses a te dire, alors demain matin t'iras le voir, c'est compris ?!
_ Oui ... *à la tête qui tourne légèrement et la vue qui deviens flou* Oui Maître.
_Allez, maintenant vas te coucher !

Elhoïnah monta à la chambre qu'elle avit pris l'ahbitude de prendre chaque soir.
Le matin vint.
Elhoïnah se réveilla, mangea un morceaux de pain, et retraversa la forêt pour revenir à l'Abbaye.

_ Heu .. Garde, où est Père Héstain ?
_ Il est en train de prier petite ... Attend le là.

Elhoïnah s'assit sur une barrière pour attendre. Le Père Héstain sortit de l'Abbaye au bout de quelques heures.

_ Haaaaa ... Mon enfant, escusez moi si je vous ai fait attendre.
_ *fait une révérence*... Ce n'est rien Père Héstain.
_Voila ... J'ai appris que tu étais du royaume de Lordearon... n'est ce pas ?
_ Ho, oui oui.
_ Bien... Maître Freth t'a t'il bien appris l'art de combattre ?
_Heu... oui... Enfin, il est tout le temps saoul et violent...
_ Mon enfant, ne parlez pas comme ça de Maître Freth, il est certes spéciale, mais pas comme vous le décrivez.
_Mais... mais...
_ Ecoutez mon enfant, sachez apprécier la chance que vous avez eu, vous auriez pu être une de ces catins qui vagabondent dans les rues si Freth et moi n'avions pas été là. Enfin, revenons en à notre discussion, j'ai appris que vous étiez de Lordearon, et moi même, je hais ces hérétiques de non-vivants.
_Je...
_Ne dites rien, et je souhaites vous enseignez la foi qui vous accompagnera durant votre combat, car vous combattrez les morts-vivants, vous le ferez et c'est tout, avez vous compris mon enfant ?
_Oui...
_Haaaa... Voila qui est bien mon enfant, suivez moi dans la sale de prière.

Ils rentrèrent dans une sale, les murs couverts de tableau représentant des braves soldats, des héros, des nobles. Deux personnes en robe blanches étaient là, baton à la main.

_Maintenant mon enfant, a genoux avec moi je vous prie. Nous allons nous receullir ensemble. *un moment de silence, Frère Héstain était en train de méditer* Bien... Qu'éprouvez mon enfant lorsque vous tuez une personne...
_ Bha ... De la tristesse pour lui.
*Frère Hestain fit un hochement de tête à l'un des hommes qui avança et donna un violent coup de baton sur le dos d'Elhoïnah*
_Vous pensez toujours la même chose mon enfant ?
_Heu... oui ... *serre les dents et ferme les yeux*
_N'essayez pas de me tenir tête mon enfant... *fait un hochement de tête l'autre homme qui donna un autre coup de baton à Elhoïnah qui s'allongea sur le sol à cause de la douleur* Alors ... Vous pensez toujours la même chose ?
_ Non, non ! *se mettant à pleurer*
_Pourquoi pleurez vous mon enfant ? Arêtez donc ces enfantillage et remettez vous à genoux.

Des mois passèrent, des mois de coups de batons, des mois de lavage de cerveau. Elhoïnah venait d'avoir 16 années.
Elhoïnah se reveilla, aprés une nuit de cauchemard, elle fut réveiller par un vacarne qui avait lieu dans la taverne, elle revêtut son armure de maille et descendit. Héstain et Freth était entourés de gardes.

_Sur ordre de Benedictus, nous vous arêtons, Freth Bloodstone et Père Héstain pour avoir endoctrinés, torturés et emmenés maintes jeunes gens à la mort en les envoyant sur les terres du Nord. Suivez nous, vous serez jugés et éxécutés.
*Les gardes mirent violemment les deux hommes à genoux, les ligotèrent, et les trainèrent jusqu'a Stormwind, sous les hués des gens en colère.

Mais le mal était déja fait, ils avaient pervertit Elhoïnah, lui avait enlevés tout sentiments, ne lui laissant que haine, colère, vengeance et tristesse.

Freth Bloodstone : Homme agé de la quarantaine, chauve, blanc, il a une balaffre sur une de ces joue, et un cache-oeil, il est de forte corpulence. Il revête une armure de plaques grise, et une immense épée a deux mains faisant la taille de deux hommes. Il est souvent ivre et trés violent.

Père Héstain : Cet un homme de foi, assez gras, le crane dégarni, mais il a quand des cheveux autour du crane, ses mains sont ornées de bagues en or et de jade. Il porte une robe blanche et des châles écarlate.


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N°18 - 22 points

Hrunh

Age : 27
Sexe : Homme
Race : Humain
Faction : Alliance
Formation : Guerrier
Description : Alors que le froid tiraillait ses os, Hrunh observait ce qu'il se passait dans la vallée en contrebas. Cette vallée si paisible et vivante qui étaient autrefois celle de ses ancêtres étaient infestés d'ogres et de créatures tout aussi repoussantes. La horde envahissait de plus en plus de contrée et personne ne faisait rien.

"Cela suffit !" s'écria Hrunh.

Ses ancêtres qui s'étaient battus avec courage et force avec ce nom dont ils étaient si fiers, les Loups Gris, avaient été réduits en miette sous le nombre toujours croissant de leurs assaillants. Il était un des derniers survivants et Uthgar devait le regarder pour savoir si il aurait le courage d'enfin se lever comme un homme et défendre son héritage.

Il décida que ceci avait assez duré et qu'il irait voir des responsables pour qu'ils lui disent enfin ce qu'ils comptaient faire.

Après plusieurs mois d'un dur et long voyage, il arriva enfin devant la belle et somptueuse Stormwind. Bien de demandes d'audiences et de rejets plus tard, il pu enfin être reçu. il s'entretenu longuement avec les hautes instances de Stormwind et n'en ressortit pas appaisé. Personne ne su ce qui s'était dis, mais une chose était sûre Hrunh prendrait lui-même les choses en main.

Il chasserait les ennemis de l'Alliance et défendrait les peuples incapables de le faire par eux-mêmes. Il n'aimait pas les lâches et le ferait savoir. Sa langue il ne la garderait pas dans sa poche et ce quoi que cela puisse coûter.

Il utiliserait son héritage et sa sauvagerie innée au combat pour combattre la Horde et ses alliés, il crierait sa dévotion à Uthgar et ferait savoir dans le sang qu'il faudra dorénavant compter avec lui. La Horde ne fait pas de cadeau et seul un Loup peut en tuer un autre.

Il clamerait son appartenance aux Loups Gris et cracherait à la gueule de toutes ces factions corrompues qui pensent que les tâches de sang s'oublient avec le temps. L'heure est venue de passer aux armes !


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N°19 - 21 points

Keshindrae

Sexe : Femme
Race : Elfe
Faction : Alliance
Formation : Druide

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N°20 - 21 points

Cyraneau

Age : La trentaine
Sexe : Homme
Race : Gnome
Faction : Alliance
Formation : Démoniste
Description : Une détonation

Je relève la tête de mes feuilles de calculs, et je tente d'e deviner le genre de l' explosif qui à fait ça.

_" Mmmh... probablement un chapelet de dynamite grossières... 2 chapelets assez proche qui auraient sautés simultanéement... "

Mon frère me crie de son atelier, dans la cave :

_" Qu' est-c' tu dit ?
_C' est deux chapelets composée d' environ 6 ou 7 dynamites grossières qui viennent d' exploser selon moi !
_Que veux tu que ça me foute ?
_Ah ah ... "

Je rit dans mes moustaches.

Mon frère n' est pas brillant dans mon domaine. Il préfère l' achimie. Mais moi, en plus d' être ingénieur, je suis aussi Alchimiste ! Et non des moindres ! Je suis aussi bon que mon frère malgré le fait que je me consacre presque uniquement aux explosifs.
C' est parce que mon frère s' interesse surtout à l' Herboristerie. Je prefere dire ça quand je parle de lui.
Il fait mine d' étudier l' alchimie, mais il passe le plus clair de son temps à fumer des herbes bizarres qui le rendent tout aussi identique.
Mais j' éxagère, il bosse bien. Et il fait des choses très interessantes d' ailleurs, quand il est dans son etat que je qualifierait de "second".

Une détonation plus proche suivie d' une longue resonnance.

_Aha ! Ca, c' est du joli ! -Dis-je avec une expression de mélomane.
_Rah la la la la la ! Mais on peut plus se concentrer avec tout ce bordel ! -répond mon frère qui remonte de son atelier en fumant un étrange cigare. Il à les yeux dans le vague et semble très calme, malgré ce qu' il vient de dire. Il a les mains dans les poches et je me demande si il les a sorties pour travailler depuis ce matin.
_Ce "bordel", comme tu dit, est ma source d' inspiration frerot. -lui dis-je en souriant.

Il rigole en secouant la tête comme pour dire : Quel barjo !
Il ne s' est pas regardé !

Il retire les mains de ses poches et prend son cigare entre les doigts. Il se dirige vers le fenètre à coté de la porte d' entrée blindée à fermeture verticale-automatique.

Il regarde dehors, dans le couloir 73 de la zone 14 du 5ème sous-sol.
C' est là que nous habitons. Mon frère et moi, depuis plusieurs décénies.

Je le regarde, et me rapelle quand nous étions enfant, a Gnomerivage. Un port gnome assez petit où les inventions de notre peuple étaient embarquées par bateau pour on-ne-savaient quel commanditaire.
On ne savait même pas qu' il y' avait des gens au-delà de la mer. On était des petits gnomes. Moi j' avais 8 ans et mon frère 7. Notre mère on ne l' a jamais connue. Pendant des années, on ne savait ni qu' on en avait une, ni qu' elles existaient, ces chose que les gens appelent avec amour : Mère...

Donc, quand on à entendu parler de mère, on est allez voir chef. Chef, c' était un peu notre "père". On ne savait pas que les "pères" existaient non plus...
Bref, Chef nous dit que notre mère étaient son ancienne serveuse et qu' elle était morte en nous mettant au monde.
Nous "mettre au monde" ?
On ne savait pas ce que ça voulait dire non plus.
On pensait que les gnomes était construit par des ingénieurs, comme tout ce qui existe.
Mais non, rien n' est simple. Tout doit être compliqué. Mais comme je dit toujours : " C' est normal que ce monde soit pourri ! Il à pas été inventé par les gnomes ! "
Les gens aiment pas quand je dit ça. Je vois pas pourquoi.
Bref, une mère morte en couche par la faute d' un père marin.

On a même pas voulu se venger de notre père, ni le retrouver.
A cette époque, on s' en foutait de tout. C' était déjà assez dure de survivre comme ça.
On travaillaient dans les docks. On portait les caisses d' explosifs pas trop lourde. Avec interdiction formelle d' y toucher.
Mais comme je l' ai dit, à cette époque, on s' en foutait de tout, y compris de ce qu' il y' avait des les caisses qu' on transportait.
Maios un jour, un gnome que les autres appelait "Pirate" nous demanda nos noms. Je disais que je m' appelait Cyraneau et que mon frère s' appelait*

De petites détonations de fusils retentissent.

_"Ah. Ils attaquent dans le couloir 74 ou 72 ! C' est pas loin d' ici que ça pète ! -dis-je en me sortant de mes souvenirs sans noblesse ni beautée quelconque.
Il y' a un silence. Mon frère, tojours calme, crache une bouffée de fumée verdâtre et dit :
_Ouais.

Mouais. C' est pas aujourd' hui qu' il va atteindre des sommets d' efficacité. Mais rien n' est perdu, il ecrase son cigare dans le cendrier anti-incendie de ma confection.
Il remet ses mains dans ses poches mais ne se retourne pas. Au bout d' un moment, il dit, couvrant les coups de feu qui ne semblent pas s' arrêter.
_Tu crois que c' est des troggs ? Ou c' est encore une emeute ?
Je rit.
_ AH ah ah ah ah ! Si les troggs étaient arrivée jusqu' ici, y' aurait plus que des petits coups de feu mon cher *Grosse détonantion, les coups de feu s' arrêtent.*...agit juste d' un stock qui vient de péter, comme d' habitude.
_Ouais.

Je range mes feuilles. Il y' a peut-être des dégats importants à observer dans les couloirs voisins. C' est toujours très interessant d' observer les dégats dus à des explosifs.
_Bon, on va voir ce qui a explosé ? demandé-je en souriant.
_Oooooki mon gars ! répond mon frère en se tapant le genou avec enthousiasme.

Je met mes feuilles dans mon armoire automatique et ferme en activant le code secret. A cause de l' invasion des troggs, il y' a des pilleurs dans Gnomeregan. Mais je pense qu' ils n' oseraient jamais s' attaquer à la maison des de Acrylate !

On sort dehors et la porte blindée à fermeture verticale-automaitque se referme derriere nous.
On descend le perron et on arrive dans le couloir 73 éclairé par les lampes Gnomhallogènes. Moi et mon frère, on marche sur le bétron, matière solide utilisée pour bétronner les milliers de couloir de Gnomeregan.

Mon frère à toujours les mains dans les poches.
Monsieur Balty, le boucher est dohrs, le fusil à la main. Lui, par contre, c' est fait piller son magasin par des pilleurs. Mais le pire, c' est que les autoiritées gnomes ont réquisitionnée son stock qu' il gardait bien à l' abris dans sa chambre froide-blindée. Pauvre Monsieur Balty...
Il me fait un signe de main en guise de bonjour.
Cet homme est courageux. Il est ruiné. Les autoritées n' ont rien pu faire pour empêcher le pillage de sa boucherie, mais elles n' ont pas oublié de réquisitionner le peu de nouriture qu' il lui restait !
Raah... Quand je vois cet homme, qui tente de garder la fâce alors que tout fout le camp, ici, à Gnomeragan, et que je vois comment les autoritées gèrent la crise, j' ai envir de tout faire sauter.
Le Grand-Artisant Mekkatorke est un imbécile ! Un incapable ! Ce n' est qu' un gros roublard quarismatique à la grande gueule qui ne sait rien à l' administration !
Ses perquisitions sont tout bonnement intolèrable !
Partout, il est affiché que la population gnome doit faire des efforts pour la guerre contre les troggs. Qu' il faut fournir armes, main d' oeuvre, materiel, nourriture et tout ce qui nous tient à coeur, au profit de l' armée !

Je fulmine de rage. Et je m' apperçoit que cette rage est affichée sur le visge de tout les gens du couloir 73 que je croise : Monsieur Bibletruide, Igard Valtrolo, Madame Fizzlespeed, la famille Blackpowder des sacrès adolescents que les Blackpowder ! Pas du genreà se laisse faire ! Les pilleurs les évitent, eux aussi. Les Blackpowder sont des braves gars. Et leur père un saint homme !
_" Salut Raspoutine Blackpowder ! Et salut à tes 7 fils !

Il mez rends mon salut et me tape sur l' épaule, le visage dur mais souriant :
_" Salut à toi Cyraneau ! Les temps sont durs n' est-ce pas ?

Mon frère salue tout les enfants Blackpowder d' une façon à la mode chez les jeunes de cet âge-là. Ils rigolent ensemble.
Je répond à Raspoutine.
_ Oui, les temps sont durs, et les réquisitions n' ont toujours pas été abolies... c' est inimaginable. Pour qui se prend Mekkatorke ?

Raspoutine fronce les sourcils. C' est un gnome immense, aussi grand qu' un nain. Sa présence peut-être aussi rassurante qu' effrayante.
_" Arrh ! Je suis en rage ! Je dispose de tout un stock de fusils chez moi. Les autoritées les savent et ne tarderont pas à faire une descente chez moi pour "réquisitionner" mon stock ! Je suis le prochain sur la liste Cyraneau, je le sens...
_Moi aussi j' ai la rage Raspoutine. Moi aussi je possède un stock enorme d' explosifs chez moi...
_Mais tu ne comprends pas Cyraneau ! Ses fusil font partis de la famille ! Ils sont ornés aux initiales de chacuns de mes fils ! Ils en ont reçus chacuns un à leur 15ème annniversaire, comme le veut le tradition familiale ! Qu' est-ce que je vais faire si les autoritées veulent me les prendre ! Je... je ne peut pas les laisser faire !
_Non, Raspoutine, mais ne t' inquiète pas. Je pense que si tu leur explique tout ça, ils comprendront et ne prendront que ton surplus de munitions par exemple...
_Franchement Cyraneau... tu y croit vraiment ?

Non, je n' y croit pas du tout. Chez les Brizzlesweet, ils ont tout prit, même le fusil familial du vieux. Et quand le fils à voulu empêcher cela, ils l' ont foutu en prison. Heureusement qu' ils l' ont relaché, parce que sinon, y' aurait encore eu une emeute.

_Cyraneau... tu y croit encore, toi ? A Gnomeregan ?

Raspoutine me regarde d' un regard que je n' avais encore jamais vu. Celui de l' homme qui doute, qui à peur, qui sent la fin arriver et qui n' y peut rien. A ce moment là, je lui dit:
_Raspoutine. Gnomeregan est foutue tant que Mekkatorke est au pouvoir. Il est manipulé par ses conseillers et il est complètement dépassé par la crise Trogg. Si Le Grand-Artisan saute, les conseillers sauteznt aussi.
_Attends, Cyraneau, qu' est-ce que tu me raconte là ?

Entretemps, d' autres personnes du couloir 73 se sont approchée de nous pour écouter. Nottement madame Doubtbringer à qui je fait la bise avant de continuer.
_Je veux dire par là que les conseillers ont peur de leur peau. Ils vont faire un coup foireux, horrible, je le sens...

Un gnome arrive, Trad Tanglejouayne, et lance:
_Comment ça ? Quel coup foireux ?

De plus en plus de personnes arrivent.
Je leur explique mes craintes.
_Messieurs et mesdames du couloir 73... Je craint fort que la crise echappe non seulement à ce pantin de Mekkatorke, mais aussi à ses conseillers eux-mêmes !
Ca, on le sait que trop bien ! -déclare une gnome aux cheveux roses.
_Je craint que toutes les réquisitions d' armes, de nouriture, d' explosifs, de médicaments, de matières premières, et de tout ce que nous possèdons, ne servent... non pas à attaquer les troggs, Mais...

Tous, ils m' écoutent, comme au discours des fêtes. Mais cette fois-ci pas de chapeaux pointus ni de serpentins dans l' air. Et certainement pas non plus de visages réjouis et enjoués, non. Ce sont les visages de la peur, de l' indignation et de la colère qui me regardent.

Et qui m' écoutent.
_Mais plutot pour organiser une défense sacrificielle !
Peu d' entre ex ont compris. J' illustre mon idée.
_Les quartiers riches font pression sur les conseillers ! Ils les corrompent ! Vous le savez tous après l' affaire Tourneboulon !
_Ouais ! -déclare une grande partie de l' assistance.
_Et bien je soupçonne les conseillers de prévoir une défense sacrificielle ! C' est à dire de réquisitionner toutes nos armes, touts nos biens pour se lancer dans une attaque sucidaire à l' encontre des troggd, et ceci dans le but de permettre aux riches de s' enfuir !
Mais nous, nous... Les habitants des sous-sols infèrieurs. Les quartiers pauvres... nous sommes hors des portes de sécurité ! Et vous savez ce que cela signifie ?
Toute l' assistance est choquée, la colère monte sur tout les visages. Comment puis-je être capable de susciter autant de haine ? Comment suis-je capable de faire éclater la verité au grand jour ? Pendant un instant, j' hésite à m' enfuir... mais je reste. Je n' abandonnerais pas ses gens !
_Cela signifie que les sacrifiés seront nous ! Oui, nous ! Les pauvres ! Les habitants des sous-sols infèrieurs ! Nous !
Et quand l' amrée de Mezkkatorke... ou pluto devrais je dire : Sa Milice dictatoriale ! nous aura dépouillé de tout nos moyens de survie, de nos vivres. De touts nos moyens de resistance, de nos armes et de nos explosifs. De tout nos moyens !
Que pourrons nous faire, quand les troggs parveindront jusqu' à nous ? Hein ? Désarmés ! Affamés ! Que feront nous ?
Car c' est précisemment ce qui va arriver... l' armée de Mekkatroke ne comptent pas user ses troupes à empêcher les troggs d' atteindre les niveaux inférieurs... non, Il resteront bien au-dessus à couvrir la fuite des riches !

Des cris de guerre résonnent dans le couloir 73. Qu' ais-je fait ? Aurais-je du me taire ? J' ai agit sous la colère et j' ai dit mes idées alors que je n' avais aucunes preuves ! Cependant, ils m' ont cru. Et ...

Ils m' acclament ?

Mais ! Ils font trop de bruit ! Les autoritées vont croire à une emeute et vont rappliquer ici ! Et en voyant une foule de gnome en colère, c' est précissment ce qu' il va se passer...
Je dois agir.
_SILENCE ! Mes frères, silence ! Nous savons le complot des conseillers. Si ils savent que nous sommes au courant, ils vont nous faire assassiner ou je-ne-sais quoi de pire ! Nous devons tous rtentrer chez nous dans l' ordre. Afin qu' ils ne se doutent de rien... mais si jamais l' on vientréquisitonner chez vous, ne vous laissez pas faire.
Et ne vous inquiètez pas... unis, ils ne peuvent rien contre nous. Ni les troggs, ni les autoritées.

Tous partent, l' allure determinée et fière. Ils partent rpéendre la nouvelle dans les autres couloirs, les autres sous-sols même, peut-être...
Je suis allé trop loin.
Mais il est trop tard pour reculer.
Je neput pas les decevoir.
Il se passera ce que j' ai dit.

Si jamais les autoritées viennent faire une réquisition au couloir 73,

Je déclencherais, la révolution...




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N°21 - 19 points

Orosh

Age : 30
Sexe : Homme
Race : Mort-vivant
Faction : Horde
Formation : Prêtre
Description : Je ne suis rien de plus qu'un humble réprouvé, prêtre de son état, en quête d'une solution à cette suite de conflit sans fin.


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N°22 - 17 points

Zunhwyvar

Age : Les sourcils épais, les défenses trapues et le regard profond et paisible de Zunhwyvar sont sans âge. Il est tantôt vieux troll tranquille assagi par les saisons, tantôt jeune coq farouche quand il s'emporte avec dessein dans sa prose.
Sexe : Homme
Race : Troll
Faction : Horde
Formation : Chaman

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N°23 - 17 points

Norië

Age : Inconnu
Sexe : Homme
Race : Elfe
Faction : Alliance
Formation : Guerrier
Description : Plus grand, plus colossal que la majorité des elfes, il n'y a pas de doutes, Norië est un guerrier.

Il est couvert de cicatrices et la plus visible sera cette balafre qui lui traverse le visage en diagonale sur toute sa longueur.

Norië n'engage jamais la conversation, il préfere être seul, et semble éviter tout contact physique avec les autres. Ses traits sont dur, séveres, mais laissent paraitre parfois une impression de tristesse.

Certain l'auront connu avant, mais depuis son retour des Maleterres il a perdu la mémoire et semble de plus en plus s'enfermer dans sa profonde solitude.

Sans pouvoir se l'expliquer les assassins, les meurtriers les plus cruels et impitoyable se sentent mal a l'aise en sa présence, comme si des milliers de regards remplis de repproches se posaient sur eux et les pointaient du doigts.

Norië parle avec un accent elfique tres prononcé, éprouves beaucoup de difficulté avec le commun, et ne semble pas s'interesser aux "détails" qui occuperont la majorité des gens...

Il fait penser à un guerrier, sauvage, dont la place n'est que dans une arène ou sur un champ de bataille.

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N°24 - 17 points

Adalynn / Halaa

Age : environ 20 ans
Sexe : Femme
Race : Mort-vivant
Faction : Horde
Formation : Démoniste
Description :



Le grand jour était enfin venu pour Adalynn, tout avait été minutieusement préparé par ses bonnes amies, elle la petite pâtissière de Valonlumiére, dernier village humain avant les vertes forets elfes de Quel'Thalas, allait vivre un grand moment, un grand jour, le plus beau jour de sa vie ...

Les gens l'attendaient dehors et elle le savait, ils étaient tous impatient de la voir, elle la mariée, la futur femme d'un noble paladin. Fini la vie simple de fille du peuple, bientôt elle connaîtrait la joie et le luxe d'une vie de petite noble, car son aimé était proche de la cour du roi de Lordaeron, mais a vrai dire cela lui importait peu.
Elle avait toujours accepté son destin et sa vie, se contentant de la joie qu'elle pouvait offrir par ses talents de cuisinière.
Les sourires des enfants enchantés par ses pâtisserie et ses petits talents magiques, étaient son salaire et sa récompense. C'est ainsi qu'elle avait séduit le cœur pur de son aimé, par son amour et sa dévotion pour les autres avant elle.

Adalynn n'avait jamais essayé de développer ses talents de magicienne, malgré les conseils de son amie Elfe, Loraya SilverHand, une des ranger de Silvermoon sous les ordre de Sylvanas windrunner. D'ailleurs son amie lui avait promit qu'elle essayerai de faire un saut pour la cérémonie si elle arrivait a se libérer de ses obligations militaire, ce que Adalynn espérait, elle aimait beaucoup l'elfe, elle s'étaient rencontrées par hasard un jour ou la jeune pâtissière étaient dans la foret pour cueillir diverse petites baies pour ses gâteaux .

On frappa a sa porte, Adalynn sortit, accompagnée par sa mère adoptive, ses parents étant morts quand elle était encore toute enfant. Elle apparue sur le perron de la petite maison et tous furent impressionnés par sa beauté et la douceur de son visage d'ange blonds aux yeux bleus comme le ciel un jour d'été, les fleurs dans ses cheveux très long et la robe blanche ne faisant que renforcer son image de créature céleste sortie tout droit d'un compte de fée.

Sous les applaudissements et les pétales de roses Adalynn monta dans la petite calèche qui l'amena vers la mairie ou l'entendait son futur époux. C'était magique, elle était heureuse.
Alors que le cortége arrivait en vue du bâtiment communal un groupe de cavalier arriva a bride abattue, un d'eux s'arrêta, faisant cabrer son cheval.
La cavalière abaissa sa capuche, révélant un visage elfique, c'était loraya, son amie, finallement elle eté venue c'était merveilleux ...
-« Vous devez fuir, le fléau arrive ils ont déjà envahi les village de Soleilargent et Douxsouvenir, vous êtes le prochains, ils se dirigent vers Quel' thalas, rien ne les arrêtent »

Les gens commencèrent a paniquer, les sourires de joie se crispèrent en grimace d'horreur. Adalynn regarda par dessus son épaule dans la direction que lui montrait le long doigt fin de son amie elfe, et elle vit que le ciel avait une couleur étrange et menaçante, et une odeur infâme lui monta aux narines
Loraya hurla.
-« C'est trop tard ils sont déjà la ! »

La guerrière elfe, avec une rapidité et une précision déroutante saisi son arc devant Adalynn et abattit plusieurs monstre ignobles qui arrivaient dans leur direction, en courants sur leur membres difformes Des goules, les soldats du fléau.

Tant bien que mal les elfes regroupèrent les humains du village pour les faire fuir vers la frontière sécurisée de leur royaume. Sous la protection de son amie Ranger Adalynn se dirigea vers la sortie du village, cherchant des yeux son époux.
Elle le vit, lui et ses amis paladins venus pour fêter les noces, se défendant contre les immondes suppôts de Nerzul qui commençaient a envahir le petit village, ils couvraient la fuite des villageois.

Le regard de la jeune pâtissière se fixa alors sur une ruelle adjacente ou elle vit le petit Pietrick, un des enfants du village qui courait, poursuivit par des zombis. N'écoutant que son cœur aussi pur et doux que la lumière du soleil Adalynn échappant a la protection de Loraya se précipita vers le petit, elle le saisit par la main, pensant le soustraire a la vindicte meurtrière des morts vivants.

Elle saisi la première chose qui lui passait prés de la main, un balais, et aussi étonnant que cela le fut, elle renvoya dans le néant absolu les être immondes, les rossant de son arme de paysanne, comme si la lumière guidait son bras juste et pur ...
Adalynn profita de sa petite victoire pour faire fuir le garçonnet vers Loraya.
C'est alors que sortant de nulle part un chevalier terrifiant fit son apparition, vêtu d'une armure de plaque noire, d'un seul geste il transperça la jeune villageoise qui lui faisait face le menaçant avec un balais, l'empêchant d'atteindre les elfes qui faisait fuir ceux qui allait devenir les soldats de sa nouvelle armée, la lame d'acier pénétra Adalynn, le sang gicla maculant sa robe blanche
Elle tomba a genoux aux pieds de son assassin, tenant son ventre qui n'avait jamais connu la joie de donner la vie et qui ne la connaîtrait jamais plus.
Le sang coulait de plus de plus et elle sentait la vie la quitter, elle entendit les cris de son amie Elfe, des bruits de bataille, les hurlements de ses compagnons qui se faisaient massacrer, incrédule elle leva les yeux vers son meurtrier, son visage était caché par un horrible casque noir Probablement le plus mauvais de tout les hommes pour assassiner une jeune mariée.

Adalynn tomba alors face contre terre et rendit son dernier souffle dans la poussière qui devenait boue alors qu'elle se gorgeait de son sang, ses pensées allant vers celui qui aurait pu être son mari, priant pour qu'il survive a se massacre, elle pensa aussi a son amie Loraya et tout les gens du village. Elle ne pensa pas a elle, elle n'avait jamais pensé qu'aux autres et avait toujours servi le bien, toujours avait été quelqu'un de bien, même si la vie n'avait pas toujours été tendre avec elle.

La silhouette sombre rabattit la capuche de sa cape, pour cacher les larmes de sang qui lui coulaient douloureusement des yeux, et vérifia le bandage qui cachait l'articulation de son bras gauche.
Adalynn, la belle et douce, humaine était morte et tout ces souvenirs pénibles qui vrillaient son cerveau mort ne lui rendrai pas la vie. Il ne restait plus que Halaa, la réprouvée, le cadavre animé par la volonté du roi liche.
Seule dans la nuit elle avait décidé de quitter undercity pour marcher dans les bois sombres, a la recherche de la vérité sur ce qu'elle était vraiment, c'était dangereux car même si elle était une morte vivante d'autre créature toujours au service du fléau erraient en ces lieux et le pire qui puisse lui arrivait serait qu'il la capture pour la remettre au service du maître des morts.

Mais dans un sens cela ne valait t'il pas mieux ? Sylvanas Windrunner, qui elle aussi était devenu une morte vivante, une Dark ranger, lui avait rendu sa conscience et sa personnalité comme a des centaines d'autre reprouvés Mais c'était pénible pour Halaa, son cœur pur avait été sali, son âme d'ange damnée et son corps parfait rongé par la vermine et la corruption Il ne restait rien d'Adalynn la douce villageoise amie des enfants et qui aimait un paladin, la démoniste qu'elle était devenue ne méritait qu'une chose : la mort.

Au détour d'un chemin la réponse a sa prière arriva, deux zombi du crépuscule l'assaillir, elle ne se défendit pas La mort enfin Mais alors que les créature la rossait une troisième silhouette fit alors son apparition, imposante, impressionnante , un tauren c'était la première fois qu'elle en voyait un, d'un geste il renvoya les zombis a la tombe. Puis il se retourna vers la démoniste qui avait été renversée au sol par l'attaque des monstres.


« Je suis Corneauvent, je viens a Brill pour affaire, et toi jolie morte, qui es tu ? »

Le tauren lui tendit la main, et Halaa su tout de suite en se relevant que la lumière ne l'avait pas abandonnée.

- Les miens m'appellent Halaa. Je suis démoniste et je cherchais la solitude dans les bois.
A l'étonnement de Halaa le Tauren ne broncha pas lorsqu'elle énonça sa profession magique.
- Je ne voulais pas déranger ta solitude l'amie, mais je suis étranger en ces terres et tu semblais en bien mauvaise compagnie, je vais te laisser alors.

Halaa regarda les zombis a ses pieds puis le tauren massif.

-Pardonne moi, je ne voulais pas t'offenser, je te suis reconnaissante de ton aide et si tu le désire je puis t'accompagner a Brill, je connais la région.

-Je ne dis pas non, cet endroit est vraiment différent de Mulgore ma contrée natale, c'est assez déroutant et triste de voir la nature dans cet état.

-Je suis d'accord, les lieux sont le reflet de ceux qui les habite. Regarde ce que je suis

Le tauren eu un sourire attristé, il sentait bien que la reprouvée en face de lui n'était pas dans un de ces meilleurs jour, et commençait a se demander si le nom de Halaa ne lui avait pas été donnée en relation avec son tempérament mélancolique.

-Tu es de loin la reprouvée la moins détériorée que j'ai vu jusqu'à présent, et ton joli visage inspire confiance.

Halaa leva les yeux vers le Tauren, ils était luminescent et on ne pouvait discerner ni pupille ni iris dans cet amas de lumière jaunâtre.
Se faisant elle dévoila davantage son visage, celui d'une jeune femme aux longs cheveux teints dans un violet sombre, retenus par un bandeau de soie.
Son teint était pale et maladif, le sang ne passant plus dans son corps mort, et elle dissimulait ses membres cagneux sous des vêtements amples.

Son bref combat contre les zombis avait dévoilé ses jambes, bandés du haut du mollet jusqu'au milieu de la cuisse, tentative maladroite pour cacher les os qui avaient percés a travers les chairs mortes. Elle ressemblait un peu a une momie ainsi, mais par question de coquetterie sans doutes elle préférait cela.

La reprouvée emmena le Tauren jusqu'à Brill, en fait ils n'étaient pas très loin du village car Brill accueillait une base de transport Aerien gobelin reliant directement les continents de Lordaeron ou ils se trouvaient a Kalimdor, endroit d'où venait Corneauvent..

Pendant que le Tauren échangeait les produits de son travail de taneur avec les artisans locaux, Halaa invoqua son compagnon démoniaque Garrin, le diablotin.

- Ce n'est pas comme ça que tu échapperas a ta misérable existence, la morte.
- Je te dispense de commentaires, sale petit monstre, je voulais juste savoir si tu avais fini de ranger mes appartements.
- Et ce ne fut pas long vu le rang impressionnant que vous occupez dans la hiérarchie de votre peuple, O Adalynn.
- Je t'interdis de m'appeler ainsi, la prochaine fois je te noie dans de l'eau bénite !
- Euh, non, bon ok on va éviter. Que puis-je faire d'autre pour vous être agréable?
- Te taire et me suivre, ignoble petit bavard.


Garrin ne répondit pas, même si l'envie ne lui en manquait pas, bien sur Halaa n'était plus la maîtresse cruelle et froide qu'elle avait été mais il ne préférait pas la chatouiller, ne se rappelant que trop les coups de fouets et autres brimades

Ses tractations finies Corneauvent revint prés de la démoniste, alors que les autres habitants de la ville, des cadavres animés tout comme Halaa, s'activaient donnant un semblant de vie a ce village fantôme .
Tout était gris et obscur, mort à des lieues a la ronde, malsain et étrange.

Il engagea de nouveau la conversation :
- Mais qu'est ce donc que ce petit personnage ?
- Garrin, mon serviteur, il n'est pas agressif.
- C'est un démon Je vais retourné chez moi, mes affaire ici sont finies, cela vous direz t'il de visiter mon pays ?
- Oh he bien, on m'a confiée certaines taches ici Mais j'ai tout mon temps après tout, donc si cela ne vous dérange pas, oui j'accepte l'invitation.

Les deux étranges compagnons se dirigèrent alors vers la tour des zeppelins, moyens de transports intercontinental, exploitée par des Gobelins, race de petits humanoïdes verdâtre aux grands talents d'ingénieurs.

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