Gaark

C'est en début de soirée que je fus réveillé à grand fracas. Au dehors résonnaient les bruits d'alarmes Je sortais alors précipitamment de l'auberge de Ratchet ou j'avais fait escale pour différentes affaires. Les esprits du vent m'apportèrent alors de sombres nouvelles. Le Clan DeerAntlers, qui m'avait récemment accueilli en son sein, m'appelait. Ecoutant le trouble apparu à mon cœur, je me dirigeais sans plus attendre vers la Croisée des Chemin, là j'étais sur d'avoir des informations sur les tumultes de la région. Peu avant d'arriver à destination, je croisais de mes amis et leur emboîtais le pas aussi tôt. L'alliance se dirigeait vers nos terres et l'affrontement aurait sûrement lieu à SunRock, dans les montagnes. C'est avec l'appréhension des premières fois que je suivais mon Clan vers des contrées qui m'étaient jusqu'alors inconnues. Ma joie fut grande de voir nombre de mes frères et sœurs tous présent et attentif au moindre bruissement. Tous regroupés dans cette ambiance électrique, près à défendre leur terre contre les provocateurs. Le premier assaut fut repoussé avant même que je prenne vraiment conscience qu'il avait eu lieu. Je suis resté à l'écart du bref combat tentant de prendre mes repères en ces lieux nouveaux.

A la suite de l'assaut de SunRock, des rumeurs sur des attaques aux quatre coins du pays circulèrent. Notre clan s'éparpilla alors en petit groupe pour rejoindre les points à défendre celons les indications contradictoires des messagers Et c'est là que la vilenie des Hommes nous apparue à tous clairement. Nous apprîmes que ces lâches s'en prenaient au village de Bloodhoof, Là ou les jeunes Taurens, proches de mon peuple, apprenaient le nécessaire pour vivre sur une terre comme la notre. A cette nouvelle, chaque membre du Clan sentit son honneur touché au vif et c'est d'un geste et d'une pensée unique que chacun des frères et sœurs guidés par l'Esprit de Grand Cerf se retrouvèrent au village, tels les gouttes de pluie ruisselant sur la roche s'unissent en une unique vasque. C'est ensemble que nous dissuadâmes les quelques tirailleurs ennemis. Et avec toute la rage d'une bête protégeant son futur que nous les punîmes sévèrement

Insouciant ai-je été de croire que les combats cesseraient ici C'est en retournant à la Croisée que mon cauchemar commença. En effet ce que j'avais vécu jusque là n'était que les prémices au combat de cette longue nuit. L'unité ennemie c'était en effet regroupé aux portes de la Croisée. Et la Horde bien que présente en ces lieux et prévenue de l'assaut fut mise à mal le temps qu'elle se regroupe. Je connu la mon premier champs de bataille à proprement parler. Voyant le nombre d'ennemis et d'amis se mêler sur cette zone, le feu emplie mon esprit et je me jetais comme bien d'autre au combat. Je ne comprenais plus, je ne pensais plus, mes jambes couraient ça et là, ma hache s'abattait comme par réflexe dés qu'une masse se mouvait dans mon champ de vision. J'espère n'avoir frapper que des ennemis, mais aujourd'hui encore je ne puis en être certain tellement mon corps bougeait machinalement, mes sens étant perdus Je tombais évanouis plusieurs fois, reprenant le combats dés que j'eu pu me relever Cela dura un temps que je ne puis non plus évaluer.

Lorsque je repris conscience de ce qui m'entourait, j'étais assis contre un rock. Je commençais alors à penser mes blessures quand mon Terk'La, Darzag Uddabith, notre guide s'approcha de moi et me parla de sa voix lente et caverneuse. Il me félicita de ma présence en ces lieux et de l'ardeur avec laquelle je défendis ma terre malgré mon jeune age. Il me dit que j'étais habité par l'esprit du feu, qu'il faudrait que je nourrisse celui de la terre et accueil celui de l'air dans mes futures actions. Il me donna ainsi de précieux conseils que je tente depuis lors de mettre en pratique. Puis il partit sur des chemins que seul les esprits qui l'entourent connaissent. Je finis de panser mes blessures sur un lit de l'auberge et méditais sur cette nuit marquante. Revivant sans fin ce combat, voyant les corps tomber autour de moi et s'amonceler immanquablement, près à m'étouffer. Moi, me débattant pour respirer, donnant des coups à l'aveuglette pour enfin ouvrir les yeux et voir ma hache s'enfoncer dans le corps de mes amis, leur sang maculant mon cops et

Je me réveillais alors en sueur, la douleur qui me lança au torse me fit sortir de ce cauchemar, symptôme du désarroi de mon esprit lors des faits.
Je m'assis, calmant ma respiration et j'entrepris alors de décortiquer chacun de mes mouvements et ceux de mes adversaires lors du combat, comme me l'avait appris mon père et mon maître d'arme après lui Un moyen de concentration pour apprendre de ses erreurs et des techniques de son ennemi, mais aussi inscrire la bataille dans le passer pour libérer ses pensées. Cet état de concentration m'occupa toute la nuit mais j'en appris beaucoup. Aux aurores je me levais enfin et j'allais voir mon maître sans plus attendre. Il me testa au combat comme a son habitude et confirmant mes progrès il m'appris de nouvelles bottes.

Cette épreuve fut difficile mais je suis de nouveau apaisé et je n'en suis que plus fortCe combat, aussi bien physique que spirituel, marqua un tournant dans ma vie. J'y ai appris la réalité de notre temps.

HONNEUR ET ROBUSTESSE !!!

 

Enfin ! 2 jours de lutte a travers tout le cratere d'Un Goro furent necessaires a Gaark pour debusquer les Piliers de cristal. il chassa nombre de Dimetrodons e fut chasser par autant. Harcelé par les Pterrordax. Perdu au milieux de troupeaux de ces créatures brutales. Les Diablosaures qui rodent, geants invisibles malgré leur imposante carure et pourtant toujours present. Son armure n'était que souvenir, Sa sa precieuse hache brisée, et son corp lourd...Il usa ses dernières forces pour atteindre Petra Grossen au refuge et perdit connaissance a ses pieds.

 

2 jours furent nécessaires à Gaark pour se remettre sur pied. Les réparations sur son armure furent un miracle au vu des conditions dans le refuge des Marshal. L'orc monta sa hache sur un os de dinosaure, nombreux dans les environs. Cela devrait efficacement remplacer le manche brisé lors des derniers coups échangés avec ces Dieme'trucs.

Bien maintenant qu'il peut de nouveau marcher sans béquille il est temps de repartir dans la jungle.

Apres les difficultés rencontrées a Un Goro Gaark décida de ce rendre au Nord du continent. Il devait retrouver un inconnu à Long guet. Mais pour atteindre cette ville il lui faudrait traverser la foret maudite de gangrebois. Gaark ne s'y était rendu que brièvement avec son Clan. Il lui faudrait braver les dangers seul a présent.

La traversé de la foret aux carcasses vivantes fut assez rapide. Mais arrivé à sa frontière nord la passe vers Long guet était bouchée par des furbolgs belliqueux. Affronter une tribu entière n'était pas très judicieux aussi Gaark décida de s'allier avec cette tribu qui paressait le dernier peuple respectant Terre mère des environs. Gaark loua donc ses services afin d'affaiblir une tribu furbolg ennemie...

Encore une guerre fratricide... les lieux changent mais pas les événements.

 

6 jours de combats furent nécessaires pour convaincre les Furbolg Grumegueule que Gaark n'était pas contre eux. Et encore c'est à peine si ils autorisèrent son passage vers le Berceau-De-l'Hiver. Quelle idée de s'installer dans l'unique passe de la région si vous ne voulez pas être dérangé tout le temps... Ces créatures ont une logique bien à elles décidément.

Durant ces 6 jours Gaark ne réfléchissait plus, il ne pensait même plus. Il abattait sa hache on ne peut plus machinalement sur ces masses de poils aux dents longues. Heure après heure, jour après jour... Faisant de nombreux rapports au passeur du tunnel qui lui demandait toujours plus de victimes. La monotonie de cette semaine éroda la patience de l'Orc... Au milieu de ce bois fantôme, il n'avait plus de contact avec son Clan, même les esprits qui lui murmuraient parfois avaient du mal à se faire entendre en ces lieux oubliés de la vie.

Durant ses combats Gaark rencontra de drôles d'oiseaux.... A croire que les Grumegeules embauchaient beaucoup de mercenaires, et de tout bord. De notable, il y eu un prêtre Nain, qui se prenait visiblement pour un Troll avec son masque vodoo. Il combattit auprès de l'Orc, intervenant quand les ennemis étaient en surnombres et se retirant lorsque son aide n'était pas nécessaire. Gaark faisait de même. Une preuve supplémentaire que lorsque nos buts se rejoignent le clivage entre nos peuples s'amenuise. Il y eu aussi cet Orc qui arborait le blason des Warsong, ou du moins de ce ramassis d'ignares et de brutes écervelées qui osent porter le nom d'un des fondateur de la civilisation Orc. Gaark s'apprêtait a proposer son aide à cet individu lorsqu'il reconnu son tabard. En une seconde son sang bouillit...Gaark ne supportait pas de voir le nom de son ancien Clan ainsi insulté. Il crachat à terre et partit sans dire mot. L'Orc incriminé, la surprise passée, vint demander des explications à Gaark. Il venait de rejoindre les rangs des fautifs et ne semblait pas au courant des événements qui avaient menés à la quasi disparition des Warsong. Gaark lui expliqua brièvement sa rancœur et repris le combat Quelques cadavres plus tard, Gaark recroisa l'Orc qui avait retiré son tabard et semblait réfléchir C'est avec un sourire de fierté que Gaark fini sa journée. On notera aussi un couple de Troll fort sympathique et des Réprouvés, démonistes pour la plus part, qui prenaient un plaisir malsain à massacrer ce camp, les Grumegueule leur aillant donner l'excuse qu'ils attendaient Enfin le résultat est le même et Gaark aussi éradiqua ses ennemis, il ne peut les blâmer pour cette fois.

Enfin le jour arriva ou Gaark fit un dernier raid, bien décidé à convaincre les Furbolg qu'il avait assez exécuté leurs basses besognes pour cette fois étonnamment, en voyant arriver l'Orc furieux, le passeur fut tout à coup fort aimable et invita Gaark à pénétrer au plus vite dans son antre pour se remettre de ses combats. Il avait du sentir que la prochaine tête de Furbolg que trancherait la hache de Gaark serait la sienne Ayant enfin obtenu ce qu'il voulait, Gaark remonta sur son loup et s'engouffra dans la grotte sans plus prêter attention au passeur qui devait prier pour sa vie. C'est avec un soulagement non dissimulé qu'il franchis l'autre bout du tunnel. Stupéfiant ! Si il s'attendait a ça ! Un soleil éclatant illuminait les collines enneigées couvertes de sapins gigantesques. L'air était frais, pur Gaark revenait à la vie. Il complimenta Drakkar (son loup) et ils se dirigèrent d'un pas léger vers Long Guet, leur destination première Ses gobelins sont irrécupérables, Long Guet, une ville construite au milieu des neiges, est la réplique parfaite de Gadjetzan, au milieu d'un désert de sable Qui l'aurait cru Gaark se dirigea vers les hamacs pour prendre un repos bien mérité quand le courrier le hélât. Une grosse caisse recouverte de plusieurs petites attendaient à moitié enfoncé dans la neige contre la bâtisse. Ce devait être Kaer qui avait reçu les demandes de minerais. Elles devaient être la depuis au moins 3 jours, elles attendrais bien quelques heures de plus. Gaark alla faire une sieste.

 

Gaark était retourné en Un Goro. Il luttait péniblement dans la jungle surdimensionnée, contres les créatures sans ages la peuplant. Bien qu'ayant décidé de s'éloigner des régions peuplées afin de parachever son entraînement, lorsque Gaark entendit dans une bourrasque les appelles de son frère Ahnshaën demandant renfort à la Croisée, l'Orc acheva le Pterrordax lui faisant face et se concentra immédiatement sur le pouvoir de la pierre de foyer. Dés qu'il arriva, il rejoignit les Deerantlers en faisant un tour d'horizon pour jauger le conflit. Les combats avaient lieu à l'est et déjà les ennemis étaient refoulés sur la route de Ratchet. Les quatre enfants du Grand Cerf combattirent jusqu'à Ratchet et prirent place dans la ville. Il y eu plusieurs escarmouche mais l'Alliance s'était éparpillée et il n'y avait plus de réel danger. Nous surveillons le bateau venant de Booty Bay mais il ne transportait que de petits groupes de trois ou quatre assaillants qui furent vite chassés. Les choses semblaient se calmer mais lorsque la vigilance faiblit, une armée d'Humains et d'Elfes déferla sur le port tel des rats fuyant un navire en feu. Les gardes furent balayés en un instant et les cavaliers se ruèrent sans plus de détours vers le village. Heureusement quelques messagers avaient réussit à joindre le fort à temps et un mur de barrage se dressa aux portes de la Croisée qui coupa court à l'invasion. La Horde se regroupa et tint ses positions. S'en suivit un interminable face à face. Les deux fronts se regardaient en chien de fusil, assurant leurs lignes. N'envoyant aux combats que quelques fous solitaires n'ayant aucune chance de survie dans de telles conditions. La bataille s'éternisait ainsi. Gaark fit une sortie mais il tomba immanquablement sous les coups combinés de plusieurs adversaires. Lorsqu'il repris conscience, il se retrouva au milieu d'un monceau de cadavres (ou du moins le nombre avait considérablement augmenté). Dans une crainte viscérale il se retourna vers la Croisée craignant le pire. Un guerrier de la Horde vaut bien deux Humains, mais Gaark avait vu trop souvent tomber ses frères sous le nombre d'adversaires. Mais ses craintes étaient infondées, il vit deux gardes regardant par-dessus son épaule. Scrutant l'Est il vit alors une foule hirsute brandissant leurs haches, masses et épées, poussant des cris sourds, chassant devant eux les restes de l'arrière garde ennemi (trois Paladins tout au plus) tentant vainement de retarder l'inévitable. Gaark se redressa alors et ignorant ses blessures il aida à mettre fin aux quelques combats aux abords du village. Puis, laissant la charge continuer jusqu'à Ratchet, il revint dans l'enceinte où il retrouva son frère et ses sœurs, un sourire de fierté accroché à leurs visages. Viezna, la jeune Chaman, était la plus affaiblie, mais la voir toujours debout était déjà une bonne chose. Cygüe était assise à nettoyer ses lames, son regard brillait de la jubilation malsaine que lui procuraient de telles morts, mais il faut reconnaître que son action participa grandement à la victoire. Ahnshaën enfin était encore entouré de volutes de magie curative, ne laissant apparaître aucune trace des coups pourtant nombreux qu'il avait reçu. Il se dressait là, imposante figure de sûreté.
Gaark apprit que la Horde c'était enfin coordonnée pour lancer une charge massive et que les lignes ennemis n'avaient rien pu faire. Une preuve supplémentaire que si l'Alliance ce croit plus puissante ce n'est qu'a cause de son nombre. Lorsque la Horde ce déplace d'un seul mouvement rien ne peut l'arrêter.

 

Gaark ne resta pas très longtemps à Long Guet. Il conversa brièvement avec la personne qu'on lui avait mentionnée. Celle-ci lui donna des indications fort peu explicites que Gaark suivit tout de même. Après tout ce qu'il avait fait pour arriver ici, il voulait connaître le fin mot de l'histoire. On le balada de Gangrebois à Tanaris, de rumeur en rumeur, mais le puzzle prenait peu à peu forme. Régulièrement Gaark dû retourner au Refuge des Marshal voir si Linken n'avait pas retrouvé quelques souvenirs qui pourraient servir de piste à l'Orc. Linken était cet amnésique arrivé au Cratère dans des circonstances plus qu'étranges, qui était la source de cet extravagant mystère.

Attendant qu'un nouveau souvenir puisse faire avancer l'affaire, Gaark continuait son entraînement au milieu de la végétation luxuriante d'Un Goro. C'est alors qu'il rencontra un Tauren : Torwa Pathfinder, qui s'adonné à la chasse rituel de son peuple, dans ces lieux, depuis bien longtemps semble-t-il. Il apprit à Gaark que mis à part les Diablosaures, d'autres légendes arpentaient cette jungle. Puisqu'il devait progresser, Gaark accepta le défi du Tauren. Il partie alors en chasse de Lar'korwl le Père des Raptors et d'U'Cha Roi des Gorilles. Gaark ramena les trophées à Torwa non sans mal. Puis sa tache achevée il retourna voir Linken bien décidé à tirer cette histoire au clair.

Quelques kilomètres plus tard et à la suite d'interrogatoires tous plus étranges les uns que les autres, Gaark appris enfin que le but de tout ceci était de vaincre un puissant Elémentaire de Feu carbonisant le centre d'Un Goro. Gaark ne regretta pas son périple. Cette tache serrait un coup de plus porté dans la lutte que les Deerantlers ont entamés contre le Coeur de Magma. Lorsque l'on conseilla à Gaark d'aller quérir l'aide des Elémentaires d'Eau, il se réjouit en pensant à l'alliance conclu avec les Hydraxiens. Mais apparemment l'information ne circule pas ben chez ces êtres. Les négociations furent donc un peu musclées mais l'Orc obtint ce qu'il voulait. Il murmura alors aux vents et lança un appelle à son Clan. Enilaë la Mazauk'Shakh des Deerantlers fut la première à répondre et aussitôt Kromfer et Barug accoururent. C'est donc après quelques encouragements de la Championne et cris d'échauffement des guerriers que le groupe partit à l'asseau de la montagne calcinée. Gaark traînait un peu la patte, en effet les flammes vivantes sur les versants du pic ne semblaient pas apprécier son ascension. Et lorsqu'il arriva enfin en haut, une chaleur soudaine l'envahit. Il fut projeté de l'autre coté du torrent de lave et perdit connaissance sous le choc Lorsqu'il ouvrit les yeux, il sentit une vive douleur à son flan, son armure était encore brûlante. Il vit au dessus de lui les moues à la fois amusées et furieuses de ses camarades. En effet le brave guerrier si prompt à la bataille c'était fait allongé en un seul coup, laissant ses aides accomplir son combat. Tout penaud, Gaark se releva, s'efforçant de ne pas montrer la douleur qui le lançait au coté et alla s'emparé du trésor qu'il était venu chercher, sous les remontrances de ses frères et sœur.

Gaark ramena l'objet convoité à Linken. Ce dernier pour le remercier laissa à Gaark l'épée qu'il avait porté à travers tout Azeroth pour la reforger, ainsi qu'un Boomerang, outil ma fois peu commode mais qui ferait un joli souvenir lorsque l'Orc prendrais sa retraite. Cette histoire conclue le séjour de Gaark Rageskin au cratère d'Un Goro. De retour à Orgrimmar la Puissante, Gaark alla rendre visite et faire son rapport à son maître Grezz Ragefist. En sortant de la bâtisse Belgrom Rockmaul, qui s'occupait des affectations, arrêta le guerrier et le pris à partie. Il lui parla d'une infamie commise par une Elfe de Sang envoyé à Azshara. Elle avait trahit la confiance d'Orgrimmar et l'on devait la retrouver au plus vite et laver cet affront. Gaark ne fit pas un pli. Avoir abusé Belgrom était comme avoir bafoué son propre Honneur. Il couru alors jusqu'au dompteur de Wyverns et se dirigea vers les lieux du délit.