Filorie
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Joué par :
filorie
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[ Information masquée ]
Age : inconnu
Lieu de naisance : Née en kalimdor, lieux indeterminé
Sexe : Femme
Race : Elfe
Faction : Alliance
Formation : Chasseur
Niveau : 60
Guilde :
Pandaren EmpireArtisanat 1 : Ingenieur
Artisanat 2 : Mineur
Informations hrp : Filorie, une petite chasseuse qui joue depuis la beta, qui a fondé la guilde des joyeux pandas (pandaren empire), ancienne floodeuse du forum officielle et reine du forums Hors Sujets, et ex organisatrice d'irl géante de wow ^^
Description : Prénom : Filorie
Prénom complet : Filorie gîl o ithil (Filorie l'étoile de lune)
Nom: Inconnu au départ et le reniera ensuite
Race: Elf
Sexe : Femme
Classe : Chasseur
cerlce : 60ème
Âge : Inconnu, mais se basera sur celle de ses frères.
Religion : Disciple de l'église Pandaren, Héritiere de la foret de Kalimdor.
Origine : Née en kalimdor, lieux indeterminé, sa mère lui fut inconnu pendant longtemps, abandonné elle vécue recluse dans les forets de Kalidar ainsi que dans la région du Haut Kalimdor, n'ayant pas de domicile fixe elle parcourt le monde régulièrement.
Et voici mon histoire, celle de Filorie, l'elfe abandonnée du clan Pandaren Empire :
Dans les forêts ténébreuses proche de la capitale Darnassus sur l'ile de Kalidar, une légère brise côtoie les voyageurs errant dans les chemins sombres et tortueux qu'ont façonnés les anciens. Peu sont les fous qui osent s'aventurer loin de ces chemins là où la nature à tous les droits, là ou seul l'ombre impose ses règles.
Sentez-vous cette légère brise vous frôler, comme un baiser glacé se déposant sur votre nuque. Un baiser cruel qui raidit votre corps et gèle votre sang jusqu'au plus profond de votre âme.
Voyez-vous cette légère brise se faufiler entre les arbres millénaires, plonger dans les eaux profondes, en toute discrétion sans jamais savoir si l'on côtoie un songe ou la réalité.
Cette brise frêle et mortelle porte un nom simple et froid comme sa propriétaire : Filorie. Sa beauté est comparable à une forêt sauvage, fraîche et mystérieuse. Peu de gens l'ont vu. Mais Beaucoup l'ont connu. Ou plutôt devrait-on dire beaucoup furent ceux qui goûtèrent à ses lames et fléches empoisonnées.
Tel un murmure sans fin elle erre sans autre but aucun, que de survivre, et de vivre tel qu'elle l'entend.
Certes Filorie est loin d'être une Elf posée, un ange d'amour et de compassion pour son prochain, mais peut-on blâmer une enfant abandonnée par sa mère dont elle ignorait même le nom.
Dès sa naissance Filorie se retrouva seule, enroulée dans quelques linges humides à la merci des animaux sauvages dans une grande forêt millénaires aux frontières des rêves et du temps. Le but était-il de se débarrasser d'elle ?
Certainement ; comment un nourrisson pourrait survivre parmi une telle hostilité ?
Une réponse vint quand même du néant, dans ce froid glaciale, Hooba, un jeune Ent (peut-on qualifier un Ent de jeune, après des siècles d'existence ? il me semble que oui), tomba nez à nez devant ce petit nourrisson qui pourtant, au bord de la mort, ne laissait sortir aucun bruit, aucun cri.
Hooba eu pitié de cette créature, il se rendit compte rapidement que le nourrisson était une Elf, il fouilla le landau de bois afin de trouver des indications mais il ne mis la main que sur un simple poignard. Un poignard argenté, de nature luxueuse qui devait appartenir à une famille de haut rang, une inscription était gravé dans la lame, Filorie gîl o ithil'. Hooba comprenait différente langue, dont l'élfique il comprit alors que sa nouvelle petite protégée répondait au nom de Filorie l'étoile de lune'.
Les années passèrent, le nourrisson grandit sous la tutelle d'Hooba. Il apprit à sa pupille différents langages, il lui montra les recoins les plus inconnus des forêts de Kalidar ainsi que la région du Haut Kalimdor vers laquelle ils vécurent tous deux de longues années. Il fit son éducation en espérant qu'elle aussi deviendrait un Sylvain, esprit protecteur de la foret.
Filorie grandit, appris à connaître la forêt, cette mère qui ne l'avait pas rejetée. Elle découvrit l'art de se mouvoir en toute discrétion, tel un caméléon elle ne faisait qu'un avec son environnement. Hooba lui avait appris à ne pas se montrer et surtout à ne pas communiquer avec toutes formes extérieures à la forêt. Il lui avait inculqué le fait que beaucoup de créatures maléfique essayaient de détruire cette beauté et tenterait elle aussi de la pervertir si elle osait s'en approcher trop.
Filorie était tel un animal sauvage, se préservant du monde extérieur, vivant en harmonie totale avec les peuples de la forêt, dans son plus simple élément. Tout allait bien pour elle, loin étaient les temps où elle fut abandonnée seule face à sa destiné tout près d'offrir son âme à la grande faucheuse.
Jusqu'à un terrible jour d'automne, ou après une escapade de quelques jours loin d'Hooba elle revient et vu une horrible vision qui marqua à jamais son destin. Hooba gisait sur le sol, inerte, tel un arbre détruit par des éclairs rageurs. A coté de lui se tenait un petit animal, il semblait ridicule à première vue, Filorie n'en avait jamais vu de pareil dans sa forêt. Il était étendu sur le sol, son pelage était un savant mélange d'obscurité et de clarté. Le petit animal semblait bouger encore, malgré la colère qui l'envahissait de minute en minute, Filorie se ressaisit et prit le petit animal dans ses bras afin de le mettre en sécurité. De longs jours passèrent avant que les potions et les herbes qu'elle avait utilisé sur les blessures de cet étrange animal ne fassent leur effet. Sa colère et sa haine envers le monde extérieur ne descendit pas elle chercha sans relâche les causes de ce drame en vain. Jamais elle ne su ce qu'il c'était passé ce jour là, le mystère autour de ce petit animal resta éternelle mais sans ne vraiment savoir pourquoi elle savait que son destin était lié à lui
Au bout de quelques jours le petit panda (tel était son nom) galopa à nouveau comme un petit fou, cependant, ce panda perdit l'usage d'un de ces yeux et Filorie ne pu rien contre cela.
Une complicité s'installa immédiatement entre ce familier et Filorie, à les voir tous deux on aurait pu penser qu'il ne faisait qu'un, leur complémentarité était parfaite. Les vieux Ents de la colline s'en amusaient même, la petite Elf sauvage c'était découvert un peu, et avec cet animal étrange qu'on n'avait pas coutume de trouver dans ces forêts.
Peut être était-ce pour ça qu'ils étaient proche, tous les deux n'auraient jamais du se retrouver ici mais ils étaient là pourtant et ce lien eux seuls le partageaient.
Les années passèrent, et l'agressivité de Filorie augmenta. Depuis la mort d'Hooba, son père comme elle le nommait, sa sauvagerie envers les êtres extérieures à la forêt était plus que féroce. Une rumeur circulait sur un être invisible qui terrorisait tout étranger qui osait s'aventurer dans ce bois. La légende d'une brise légère, synonyme de mort soudaine. Tel était le nom de Filorie dans le monde extérieur. Tel était
Car un jour, alors qu'un étranger osait fouler sa terre impunément, Filorie ne fit rien, elle resta immobile et se présenta face à lui. Elle, pourtant habitué à se trouver derrière son ennemie, One-Eyed Panda (tel était le nom de son familier) avançait même vers eux sans crainte, à découvert. L'elf resta timide et ne décrocha aucune parole, l'étranger se présenta, il répondit au nom de Syd. Lui aussi était un Elf, robuste et de bonne famille, et avait comme compagnon un panda une étrange coïncidence.
One-Eyed créa des liens amicaux très rapidement tandis que Filorie resta toujours en retrait. Un soir alors que l'obscurité couvrit les nuages d'étoiles, Syd, dormaient dans un campement improvisé près du vieux chêne Angbert. Filorie n'était pas là comme à son habitude, sa vie était fait d'ombre sans lumière et seul l'obscurité l'apaisait. Tandis que les deux amis étaient plongés dans un profond sommeil, un orc surgit de nulle part munis d'une grande hache et bondit sur Syd encore plongé dans son sommeil.
Celui-ci fut réveillé brusquement et il vit face à lui la mine décomposée d'un orc gueule grande ouverte hache à la main qui tomba aussitôt au sol l'orc s'écroula sur lui.
Il n'eut le temps de soulever et de pousser le cadavre à coté qu'il vu Filorie au dessus de lui, un poignard ensanglanté à la main.
Syd resta bouche bée et demanda à Filorie de lui montrer son poignard, sans un mot Filorie lui présenta son arme. Ce poignard il le connaissait, même parfaitement, car dans son équipement une copie similaire était présente. Il était parfaitement identique au sien à un seul détail près, les lettres gravées Il comprit que Filorie était cette sur que jamais il ne connut, que tout le monde cru morte et que la mémoire collective familiale avait tout fait pour oublier. Mais Syd n'avait pas oublié. Il lui révéla le secret mais Filorie ne transmis aucun signe affectueux, aucun sentiment