1er Août 2018 3ème jour de la Décade du Lapin ( Lune de l'Esprit ) -
Les Terres de Kirin Tor

Feufollest

Points : 5
Joué par : Feufollest Joué par : [ Information masquée ]
Age : 28
Lieu de naisance : Stranglethorn
Signe de naissance : Feu
Sexe : Femme
Race : Troll
Faction : Horde
Formation : Mage
Niveau : 60
Artisanat 1 : Couturier



Description : Je fût une petite troll pleine de vie malgrès mes etudes a undercity.
Pleine d'entrain et de bonne volonté, j'ai embrasée la cause des lances de sang :
- L'unification et l'indépendance des darkspears avec pour flambeau la reprise de stranglethorn.

Tout ceci jusqu'a ma mort ....

Depuis je ne suis plus que feu destructeur et voue ma vie à cela

(HRP : voir texte pour plus de précision)
 
Ère du Renouveau [2]
Lune de la Force
Décade du Panda
Décade du Gorille
Décade de l'Ours
Lune d'Agilité
Décade du Tigre
Décade du Singe
Décade du Faucon
Lune de l'Esprit [2]
Décade de la Chouette [1]
Naissance
Petite j'étais espiègle toujours prête a faire une bêtise a faire brûler un scarabée ou un morceau de bois.
Il faut dire que dans la hutte familiale il n'y avait pas grand chose a faire pour une petite troll. A
l'écart de la tribu, je ne voyais pas grand monde. Il faut dire qu'a chaque fois que l'on m'a amené au centre
je ne pouvais résister à l'envie d'approcher de la forge. la puissance de son feu, la beauté d'une masse de
métal fondant, me subjuguait. Nombre de fois, le forgeron m'a rattrapé de justesse. Au bout du compte, mes
parents me laissèrent la plupart du temps dans la hutte.
Malhabile avec un arc, hermétique aux esprits je faisais, je pense, un peu honte a mes parents.

Ainsi passèrent les dix premières années de ma vie.

Un jour comme les autres, un jour d'hiver, que je passais a entretenir un feu (plus par plaisir que par utilité).
j'entendit des cris et vis arriver un "être", je découvris par la suite que c'était un mort vivants, il était
couvert de blessures, les vêtements en lambeau. derrière lui un humain brûlé de partout arriva un échange de coup
d'épée et de magie flamboyante plus tard, le réprouvé était à terre prêt a recevoir le coup de grâce de l'humain
agonisant.

Je n'ai jamais su comment je fis se que je fis mais les mains dans le feu je me mis a le modeler et a le lancer sur
l'humain qui s'écroula sur le coup. Le réprouvé se releva m'attrapa par le col et m'emmena de force avec lui.
D'autres humains allaient arriver. Il me promis de m'apprendre a maîtriser cette énergie qui me fascine tout en
m'emmenant.

C'est ce qu'il fit je suivis un apprentissage long et douloureux a milieu d'être que je n'arrivais pas a comprendre.
Seul une des leurs, qui passait une partie de son apprentissage a soigner mes brûlures, m'a inspiré quelque chose
proche de l'amitié. Je croise encore souvent Sadissra à travers mes errances.

Un jour j'appris le ralliement des miens à la horde et leur exils sur Kalimdor.
Puis le recrutement de jeune recrue par la horde coïncidant avec la fin de mon apprentissage je décidais de partir
rejoindre les miens.

Une jeune guerrière du nom de Kralkena m'emmena à l'antre en chemin elle m'instruit de la mort de mes parents peut
de temps avant lors d'un affrontement avec le traite Zalazane.

je me suis engagée et j'ai vaincu Zalazane mais l'armée n'est pas faite pour moi.
je poursuis mon apprentissage, depuis lors seule.

Pendant mes voyages, j'ai croisé un membre de la tribu darkspear, un dénommé Prelude.
Il m'a parlé de votre communauté, m'a parlé de stranglethorn.

Sceptique de prime abords, ma curiosité n'en était pas moins piquée.

Je finis par me décider à me rendre sur place pour savoir.

A peine arrivée, cette forêt m'appelait, cette terre s'adaptait a chacun de mes pas. Oui stranglethorn m'appelle et
ma place est la bas aussi.

Notre tribu s'est cachée derrière Thrall et la horde. Et j'en remercie grandement Thrall. A nous maintenant de montrer
que nous sommes digne et fort. Que nous pouvons apporter autant a la horde qu'elle nous a donnée. Redressons la tête
et affrontons enfin l'adversité.

C'est ainsi que je rejoignit les lances de sang.
 
Décade de la Baleine
Décade du Lapin [1]
Un triste jour...
C'était un triste jour, comme tous les jours dans les prairies de Tirisfal.
La veille, j'avais reçue une lettre de mon ancien maître. Celui qui m'avait initiée aux arcanes et nourrit entre ma fuite et mon départ pour Durotar.
« Chère élève,
Tu as une dette envers les réprouvés et il est temps de la rembourser.

Viens me voir demain aux premières heures de l'aube. »

Je dormis mal cette nuit là. Les réprouvés m'inspirent toujours la méfiance malgré le temps passé avec eux.
Certains sont dignes de confiance, d'autres braves voir même noble, mais je ne fais pas confiance ni
n'approuve le « groupe ».

J'étais tellement perdue dans mes conjectures que j'ai bien faillit rater le zeppelin. Je ne dû qu'à
un prompt et précis transfert mon salut. L'arrivée dans les prairies ne devait en rien améliorer mon humeur
morose.

C'était un triste jour, comme tous les jours dans les prairies de Tirisfal.
Sa maison avait toujours la même odeur, Pourriture, Mort, Souffrance.
Ces premières paroles furent pour me signifier mon retard comme d'habitude.
« Va à Moulin-Tarren, présente toi aux autorités du lieu et remet leur ce parchemin ils te diront ce que
l'on attend de toi. »
Je pris le parchemin cacheté de ses mains cadavériques.
« Laisse moi maintenant, il est temps pour moi de me reposer »
Sans un autre mot, mon ancien maître se détourna et plongea dans ses pensées.

C'était un triste jour, comme tous les jours dans les prairies de Tirisfal.
Je m'en retournais alors en direction Undercity, ville glauque nourrit des pourritures de la terre.
En chemin, j'ai résisté mille fois à l'envie d'ouvrir le rouleau pour savoir ce qu'il y avait dedans.

Moulin-Tarren, je connaissais ce lieu. J'y étais allée la vieille.
J'avais croisée là-bas un des nôtres, un grand chaman maître dans l'art de la couture, c'était avant son
regrettable accident. J'étais jeune chez les lances de sangs. Je crois qu'il devait être le premier que
je rencontrais depuis que j'avais été acceptée dans nos rangs. On avait devisé un peu, le lieu m'avait
alors parut moins terne.
C'est en repensant, à ma rencontre avec Droulaak, que j'arrivais devant le dresseur de chauve-souris.
Je lui dis que je désirais aller à Moulin-Tarren. Après avoir réglé ma course, il m'indiquât, en bas-parler,
la chauve-souris. Je montais, avec encore de la réticence, sur l'animal qui pris son essor.

C'était un triste jour, comme tous les jours dans les prairies de Tirisfal.
Le voyage entre Undercity et MoulinTarren est court, un saut par-dessus le lac lordaeron et les contreforts
d'Hillsbrad. A mon arrivée tout était calme, c'était avant les vagues d'invasion de l'alliance sur le moulin.
Je me dirigeais, donc, vers les autorités du lieu. Le réprouvé pris le parchemin, brisa le sceau, et pris
connaissance de son contenu.
« Bien troll, vous êtes à mon service pour la journée ! »
Devant mon air surpris, il me tendit le parchemin. Ecrit en bas-parler évidemment
Quand je lui rendis le parchemin, d'un air plus irrité que je n'aurais voulu le laisser paraître, il éclata
de ce rire si stressant des réprouvés.
Il me désigna alors un de ses subordonnés qui devait me confier ma première mission du jour.

C'était un triste jour, comme beaucoup d'autres dans les contreforts d'Hillsbrad.
Ainsi on me désigna un village humain à l'ouest du moulin, auquel je devais faire payer un tribu de sang.
Pour seule justification on me parla d'une menace qu'il représenterait
J'étais passée devant ce village la première fois que j'étais venue dans les contreforts. Je m'étais écartées
d'instinct mais il ne semblait y avoir la que de paisibles paysans.
Sur le chemin, je me rappelais qu'il ne fallait en aucun cas se fier aux apparences. Le plus petit agneau
peut cacher la plus infâme bête.
« Après tout ce ne sont que des humains, ils n'ont pas fait de détail quand ils ont investit Stranglethorn . »
C'est avec ces pensées en tête que je me dirigeais entre les lions et les ours vers le village.

Arrivée à l'orée du village je me préparais au combat.

C'était un triste jour, comme beaucoup d'autres dans les contreforts d'Hillsbrad.
Je repérais un fermier isolé, il ramenait une botte de foin sur une brouette.
J'incantais, il s'arrêta.
Je me promis intérieurement d'être plus discrète dorénavant.
Au moment ou il tournait la tête vers moi il fut submergé par les flammes et s'écroula dans sa brouette qui
s'embrasa à son tour.
Au moment où il s'écroula, je vis un pêcheur de nos villages qui rangeait son filet a l'endroit où se trouvais
le fermier. Le pêcheur en se retournant fût transpercé par la lame d'un humain, s'écroula avec un air d'incompréhension
et disparu. De cette vision rien ne restait que cet air qui se trouvait de la même façon sur le visage du fermier.
Foudroyée par cette vision, je ne repris conscience de ma situation qu'en attendant les cris d'un garde qui me
chargeait, alerté sûrement par le feu qui avait pris dans la brouette.

C'était un triste jour, comme beaucoup d'autres dans les contreforts d'Hillsbrad.
Ce jour la, j'ai tué je ne sais combien d'humain. Et à chaque fois cette vision, et cet air de plus en plus
haineux et de moins en moins incrédule. Nombre de fois j'ai du retournée de ce village pour accomplir cette
sale besogne. Des Fermiers, des forgerons, des ouvriers, des citoyens tous y passèrent. Tous brûlés vifs sans
savoir pourquoi, sans que je ne sache pourquoi
Le crépuscule approchait et cette boucherie pris fin dans l'immolation de la mairie.

C'était un triste jour, comme beaucoup d'autres dans les contreforts d'Hillsbrad.
Celui qui m'avait ordonné tout cela me donna un parchemin comme celui que je lui avais amené.
Je repris donc la chauve-souris, la tête pleine de cris et de doute. Je retournais voir mon ancien maître pour
lui remettre le parchemin. Il était toujours au même endroit sur le même fauteuil pourris. L'odeur ne me
choquât pas, j'avais la même sur moi. Je lui remis le parchemin qu'il ne prit même pas la peine d'ouvrir.
« Ta dette est payée FeuFollEst ! »

Je m'en allais quand il ajoutât.
« C'était une belle journée n'est ce pas ma chère élève ! »
Je franchis le seuil sous son rire morbide.

C'était un triste jour, comme tous les jours dans les prairies de Tirisfal.
 
Ère du Conflit [1]
Lune de la Force
Décade du Panda
Décade du Gorille
Décade de l'Ours
Lune d'Agilité [1]
Décade du Tigre
Décade du Singe [1]
Décade du Faucon
Lune de l'Esprit
Décade de la Chouette
Décade de la Baleine
Décade du Lapin