Eskilan

Joué par : Eskilan Joué par : [ Information masquée ]
Age : 23
Lieu de naisance : Hurlevent
Sexe : Homme
Race : Humain
Faction : Alliance
Formation : Guerrier
Niveau : 56
Guilde : Garde de Stormwind (la)
Artisanat 1 : Forgeron
Artisanat 2 : Mineur



Description : Je m'appelle Eskilan, j'ai 23 ans.
Je suis née à Hurlevent, n'ayant jamais connus ma mère, c'est mon père qui m'a élevé. Il était l'un des meilleurs forgerons de tout Elwynn et il comptait même parmi ses clients des nains qui venaient d'Ironforge pour lui acheter sa spécialité : les épées.
En effet mon père forgeait les plus belles lames qui soient et de ce fait, je me suis retrouvé avec des épées à la main dès mon plus jeune age, d'où mon attirance aujourd'hui pour ces armes là.

Mais si mon père savait faire de somptueuses lames, il les utilisait très mal. C'est ce qui l'a perdu...
Un jour il y a eu une attaque de hordeux sur Stormwind... mon père s'est retrouvé la où il fallait pas... ils n'ont eu aucune pitiée envers lui, on a retrouvé peu de temps après sa tête au fond du lac...

J'avais alors 15 ans et les instances de Stormwind ont décidés de m'envoyer auprès des moines de Northshire pour que j'y étudie... Ils n'avaient rien compris! je ne voulais pas étudier mais me battre!

J'ai passé plusieurs années difficile... Passant pour l'orphelin de service et étant méprisés par les autres qui voyaient bien que je n'était pas comme eux. D'ailleurs cela finissait souvent en bagarre générale... j'entend par bagarre générale moi seul contre dix des autres jeunes. Heureusement que ses foutus intellectuels ne connaissaient rien en l'art du combat.

De par mon comportement bagarreur j'était très peu apprécié de mes tuteurs et je pense que le pire de tout fut le jour où l'une des plus belles épées de l'abbaye eut disparut. Tout le monde la chercha partout pour finalement s'apercevoir que je l'avais prise discrètement pour aller m'entrainer sur le toit ... il faut dire je n'avait pas pu en utiliser depuis fort longtemps! Depuis la mort de mon père à vrai dire...
J'était à la limite de la fugue... et je pense que je l'aurais fait s'il n'y avait pas eu un évènement imprévu :

j'avais alors 17 ans, presque 18. L'un des moines voulait réunir tout les jeunes pour nous faire un petit topo sur l'histoire d'Azeroth. Les soldats était quand a eux sortis en expédition et donc personne ne pouvait me gronder d'arriver en retard. J'en profita donc et arriva facilement 25 minutes après les autres. Mais ce que je vit par la fenêtre me fit bondir : à l'intérieur 2 moines et tout mes camarades se faisait menacés par un défias armés d'une dague qui était en train de leur voler tout leur bien. Il ne me fallut pas longtemps pour réfléchir : je fonça chercher l'épée que j'avais deja dérober une fois et entra dans la salle comme un fou me ruant vers le défias. Mais je n'avais jamais eu aucune formation professionnelle en tant que guerrier et le défias parait ou évitait facilement mes coups maladroits. Il réussi même à m'entailler à plusieurs reprises. Alors que je me croyais perdu quelque chose de nouveau s'empara de moi... la rage du guerrier... j'en avait deja entendu parler par des clients de mon père il ya quelques années. La rage est la force du guerrier. Il lui suffit de l'utiliser lors d'un combat pour décupler ses forces et ses talents. Je laissa la rage monter en moi et je chargea de plus belle -Eskilan le lion sauvage était né- pour chaque coups qu'il parait je lui en rendait deux tant et si bien qu'à force de m'acharner je réussi à le toucher à la cuisse, le déséquilibrant et me permettant de lui porter le coup fatal. Je venais de tuer pour la première fois.

Bizarement à partir de ce jour le regard de mes camarades et des moines changeat. Et ils comprirent enfin... Ils décidèrent de me donner une formation de guerrier. C'est ainsi que de 18 à 21 ans j'étudia auprès du maitre des guerriers l'art du combat, les techniques et surtout comment utiliser la rage au mieux.

Mais il me manquait une autre formation qu'on ne pouvait me donner à l'abbaye... celle qu'à reçu mon père, celle de forgeron. Je m'était promis à sa mort de devenir un jour un aussi bon forgeron que lui. J'y arriverais.

C'est ainsi que je quitta l'abbaye à 21 ans pour partir apprendre auprès d'autres maitres. Laissant ici une partie de mon enfance pour me diriger vers ma vie d'homme... ma vie de forgeron... ma vie vie de guerrier... ma vie de lion sauvage toujours prêt au combat...