Joué par :
denindal Joué par :
[ Information masquée ] Age : 18
Lieu de naisance : Stormwind
Sexe : Homme
Race : Humain
Faction : Alliance
Formation : Voleur
Niveau : 47
Guilde : Ligue des Archivistes (la) Artisanat 1 : Enchanteur
Artisanat 2 : Ingenieur
Quatrième Ère [2]
Lune de la Force [2]
Décade du Panda [1]
une vie en cours
Univers étroit et noir, une cage sans barreau ni fenêtre, rempli d'un liquide dégoûtant. Où suis-je, j'entends des douces voix et des cris atroce, ces cris m'apparaissent comme venant d'un endroit situé au dessus de ma prison. Je fus comme aspiré vers le bas, vers la lumière et ma délivrance. On me pris par les pieds et me claqua les fesses, les larmes aux yeux je poussais un cri venu de tout mon être.
Les sages femmes disaient que je survivrais mais pas ma mère, déjà une distance d'un mètre me séparais de ma mère qui s'était endormit à cause de l'effort.
Elle avait cru trouvé le bonheur chez un homme de moyenne fortune qui l'avait séduite, deux jours plus tard, elle était dans son lit puis le lendemain matin elle se réveilla seul dans la couche de l'homme qui l'avait tuer sans le savoir. Recueilli par les nonnes d'un couvant, elle attendit ma naissance sachant qu'elle ne pourrait me garder avec elle.
Le lendemain de ma naissance ma mère avait quitté le monde que je venais tout juste de rejoindre. Entouré de toutes les nonnes qui se battaient pour me nourrir, me faire jouer et me faire dormir, je vivais dans le bonheur d'avoir vingt mère et non une seule. A mes deux ans, on m'expliqua qu'un homme ne pouvait rester dans un couvant, que je devais partir pour l'orphelinat de Stormwind, je laissais les nonnes pleurer. Prier pour le salut de mon âme, mes mères.
J'appris la discipline et le respect, la vie à plusieurs et à me faire des amis. A l'école, on m'enseigna l'écriture, le calcul, la lecture et l'histoire d'Azeroth fait de guerre sans fin mais je devinais que l'on ne me disaient pas toutes la vérité.
Dans ma treizième année, je me rebellais contre mes professeurs et les surveillantes de l'orphelinat et étais souvent punis. Alors que je fuinais dans les dossiers de la surveillante générale de l'orphelinat, au moment où je trouvais enfin ce que je cherchais, mon extrait de naissance, je failli me faire repéré mais sans que rien n'y comprendre, je ne fus pas vu. Je découvris un pouvoir dont personne ne m'avais jamais parlé, le don d'invisibilité. Ce fut ma délivrance, m'améliorant chaque jours, je sortais de plus en plus loin, défiant la nuit et le sommeil que je repoussait jusqu'aux heures d'école où je ne pouvais plus lutter et étais souvent réprimandé pour m'être endormis.
Un jour, je me fis repérer par un adulte qui avait le même don que moi mais aussi l'acuité de sentir le camouflage. Il m'emmena dans un bureau dans une aile du centre ce commandement de Stormwind dont j'avais déjà entendu parlé sous le nom de SI : 7. Il m'expliqua le fabuleux don que j'avais reçu à ma naissance et me conseilla de partir de l'orphelinat, que je devrais de toutes façon quitter sous peu, pour aller à Northshire et partir à l'aventure.
Un mois plus tard, je repensais à cette conversation et décidais de suivre le conseil qu'on m'avait donné. Un soir que je rentrais dans la taverne de la fierté du lion à Goldshire, j'entendis le nom d'un paladin, Erwan , qui faisait parti de la ligue des archivistes. Du haut de mes dix-huit ans, je cherchais à comprendre le monde par tous les moyens et sachant lire, je me dit que je pourrais apprendre le monde chez les archivistes. Le soir même, j'étais devenu aspirant archiviste, je m'empressais d'attaquer la fabuleuse bibliothèque de la ligue et compris le sentiment que j'avais eu à l'école sur l'histoire, on ne m'avais dit que ce qu'on voulait que je connaisse pour que je hais la horde et que je la combatte.
Je dû faire mon service militaire et aller sur le champ de bataille. Rencontrant un voleur, du nom de Fûji, qui m'aida à me sortir vivant de cette bataille, nous discutâmes autour d'une chopine dans une auberge d'Ironforge. Voyant que j'avais des capacités singulières à espionner et me sortir de situation dangereuse, il fît appelle au chef de sa ligue, maître Djé, qui me proposa de rentrer dans la ligue des assassins après m'avoir expliqué son but. J'accepta à la seul condition d'avoir deux jours pour dire au revoir aux archivistes.
Après avoir dit au revoir aux archivistes. Erwan ronchonna que je n'était qu'un ingrat, Thorgen et Oradunn me souhaitèrent bonne chance et le Patriarche me promus archiviste pour me prouver que j'étais un bon élément et aussi une forme de respect, je le crois toujours ainsi. Rentrée dans la ligue, je fus guidé vers le manoir Ravenholdt, le QG de la ligue des assassins.
Pendant deux mois, je combattit la horde avec toute mon énergie, la vue des poisons de mes armes se mélangeant aux sang visqueux et acre de mes victimes me fascinait. Les cris de guerres couvrait les cris de douleurs et de souffrances des chairs tranchées. habillé de sang, je tuais sur les ordres de mes supérieurs des êtres pour que la guerre s'arrete mais plus j'en tuait plus les combats devenait de plus en plus enragés, les nôtres tombait comme les leurs. je fus mainte fois blessé et brulé, a chaque fois une infirmiere me soignait le plus vite possible pour que je reparte me faire tuer. Je devenais de plus en plus irrascible et aussi de plus en plus fatigué sans ma tuerie quotidienne. Rouge sang, le guerre fut mon bain de purification. Maintenant je doit rouvrir les yeux au monde !
Un matin, j'eus une révélation. Je devais quitter les champs de bataille et donc la ligue des assassins, je ne voulais pas que mes amis ne me parle plus parce que je leur aurait dit des choses que je ne pensait pas. Alors je fit appel a la seul guilde qui m'avait apporté quelque chose, la ligue des Archivistes. Soi loué leur généreuse sagesse, car il m'accepterent a bras ouvert. Je fis la connaissance de ceux qui n'avait pas été là quand je les avaient quitté mais aussi des nouvelles recrues dont j'avais entendu parler. Que cette guilde soit mon renouveaux dans cette vie et que la sagesse l'emporte sur le sang !
Pourquoi ai-je quitté les archiviste ? Par l'insouciance de la jeunesse surement. Je voulais me montrer a moi meme et au monde que je pouvais me battre mais la seule chose que j'ai vu est l'horreur de la guerre eet cela personne ne devrait le voir.
J'ai retrouvé le sourir dans cette guilde et je l'ai perdu presque immédiatement. J'avais déja entendu parler de la légende de l'épée d'Ishara et j'avais surpris des gens en parler. Un ami a moi est venu me voir en m'en parlant et en voulant savoir si je savais où se trouvait la porteuse. Je ne savais pas où elle se trouvait et je ne voulait pas l'aider. Quand il fut parti, je demandais a Aröwan de prévenir Duvnarel de protéger sa fille de mon ami, Füji.
Quelques jours apres, je fus convié a Menethil pour parler avec Tyranael. Elle avait entendu ma conversation avec le Patriarche et voulait que je lui parle de ce que je savais réellement. Je lui dit tout et elle me montra que la légende n'était que pur invention. J'eus du mal a l'admettre au début puis je me mis au service de la guerriere pour savoir qui se cachait derriere toute cette sombre histoire qui menerait peut-etre a la chute de l'alliance.
Je fis des recherches sur mon ami et appris sa terrible histoire et en déduisis qu'il voulait l'épée pour une vengeance. Je ne voulais pas qu'il ait cette épée car elle le ménerais a ça perte. Alors je lui proposa de m'aider dans mes recherches en essayant de le rallier a ma cause, il accepta mais je sentais bien qu'un coups fourré se cachait derriere comme il devait sentir que je ne le laisserais pas approcher l'épée. Cette légende est beaucoup plus dangereuse qu'elle n'y parait, elle fait se retourner contre eux les meilleurs amis. nous somme sur le point de perdre l'alliance a cause d'une épée, les commenditaires de cette histoire sont tres habiles manipulateurs. Ce sera un beau combat, nous verrons bien qui sera le plus futé de tous !
Décade du Gorille
Décade de l'Ours [1]
Denindal
Oradunn nous convia tous a un regroupement d'archivistes dans la taverne du Solitaire bleu a Stormwind. Soirée de larmes ! Depuis un moment Tyranael était au plus mal et elle fit ce dont personne n'imaginais une archiviste et une elfe possible contre l'une de ses soeurs. Alors que Tyranael sombrais dans la folie et qu'Oradunn voulait l'aider, un bras mort, un bras qui n'aurait jamais dû bouger, celui de Tyranael se leva et arracha le coeur de notre bien-aimée gardienne. Je n'étais pas là ce soir là et l'on m'a raconté les faits, qu'elle douleur atroce ce fut pour Thorgen qui avait appris qu'Oradunn allait enfanter de lui.
Quelques jours après le drame, je revis Tyranael qui, par je ne sais quel miracle, avait retrouvé l'usage de son bras mort et la santé. Je soupçonnais l'intervention de Duvnarel et de la porteuse de l'épée. On eu peur que Diam tente de tuer Thorgen qui avait maudit Tyranael mais on la retrouva rapidement. Tyranael était devenu aveugle en se battant contre je ne sais pas qui et m'avais tout de même chargé de collecter des livres.
Allant un soir a Menethil pour lui donner des livres trouvé lors d'une escapade dans la capitale Taurens, elle me dit qu'elle voulais partir a la recherche des archivistes dont on arrivait plus a joindre par la pensée depuis la mort d'Oradunn. M'étant beaucoup promené depuis, j'avais rencontré certains archivistes et je décida de servir de guide a Tyranael toujours accompagné de Diam.
Nous rencontrâmes d'abord Faerin qui semblais très bizarre, puis Andras qui lui n'avait heureusement aucun problèmes. Tyranael nous fit part de son envie d'incorporer dans notre guilde son amie Diam. Le lendemain, passant par sombrivage pour aller a Thunder Bluff, je croisa Duvnarel, Loredala, Thorgen, Tyranael et Diam. Sans que personne n'eut le temps de réagir, Thorgen avait planté ses lames dans la gorge de Tyranael. Thorgen parti, Loredala ressuscita Tyranael qu'on emmena en Ashenvale pour la soigner au calme. Je prévins Thorgen par la pensée de faire attention a Diam qui me demanda de prendre soins de la ligue s'il venait a mourir.
Que de problèmes ! Quand est-ce que la paix reviendras chez les archivistes ? Moi qui pensais y rentrer pour me reposer, me voila plongé dans une nouvelle bataille dont les archivistes ne se relèverons peut-être pas sans profonde blessures.