1er Août 2018 3ème jour de la Décade du Lapin ( Lune de l'Esprit ) -
Les Terres de Kirin Tor

Razkan

Points : 4
Joué par : Razkan Joué par : [ Information masquée ]
Age : 21
Lieu de naisance : Est des Milles Pointes
Signe de naissance : Fille de l'aigle royale
Sexe : Femme
Race : Tauren
Faction : Horde
Formation : Druide
Niveau : 25
Guilde : Derniers Gardiens (les)
Artisanat 1 : Herboriste
Artisanat 2 : Artisant du cuir


Informations hrp : Très croyante, très propre sur elle-même, parfois un peu hautaine, elle peut être considérer comme BCBG, druidesse, elle porte une robe pour être gracieuse et belle. Vénère La Terre-Mère tous les jours, sa foie est sa raison de vivre. Elle soutient la paix, pour elle c'est le meilleur moyen de stimuler le commerce et assurer le développement du monde. C'est une commerçante nomade entre Ratchet et Gadgetzan soutenue par les Gobelins. Elle est issues d'un clan nomade et ne quitterais pour rien au monde sa vie. Passionée par Rexxar, elle aime parler en prose et n'aime pas la vulgarité ni même les démonistes. Fasciné de l'histoire d'Azeroth, elle est en extase à Undercity devant l'ancienne salle royale de Terenas.

Description : Je conseille la lecture des deux premiers recits mais en gros :
- fille du chef du clan Eagleghter, clan nomade ayant pour symbole les aigles
- Elle doit s'éxilé pour son conservatisme et se trouve aidé par les gobelins det devient ainsi comerçante pour eux
- Rejoins le Druidisme après avoir rencontrée Rexxar . Même si elle a toujours été très croyante.
- A rejoins la guilde, les Derniers Gardiens pour aider à la paix et avoir un foyer quand elle ne commerce plus et donc n'est plus nomade.
 
Troisième Ère [5]
Lune de la Force [5]
Décade du Panda
Décade du Gorille [4]
La lueur d'Anshe et de l'aiglonne
Taurenne Razkan Eagleghter

Dans le coeur de la brume, transpire l'espoir d'une marche salvatrice. L'un après l'autre, le sol sec et blanc du désert subit ma marche soutenue, celle d'une jeune Taurenne. Ma fatigue transparaît sur le sol à la lueur de la sueur. Peu à peu en dépit de ma souffrance morale que j'éprouve à abandonner les miens, je garde la rancune tenace pour la mémoire de mon père, pour les vraies valeurs de mon clan.

J'ai toujours été élevée dans le respect de toutes êtres, de la nature comme de l?inconnue. Fille du chef de clan Eagleghter j'ai voué ma jeunesse dans les esprits, à les interprétés pour aider les miens. Dès mon 14èm printemps on me jugeait précoce, tous les jours je partait m'amuser avec les Aigles...nos relations étaient harmonieuse, je comprenait leurs actions, le sens de leur cries..on se guidait mutuellement. Les aigles sont le symbole de mon clan, de là vient Razkan, c'était selon mon père le nom d'un aigle royale légendaire, il disait que j'avais son caractère : Calme avant de déclancher la furie d'une tempête.

Peu d'années plus tard, alors que les grands esprits du clan revenait de la chasse, mon Père s'allongea, fatiguée disait-ils par son âge avancée. Il me fit venir le soir venant.
Les torches à l'extérieur éclairant sa hutte...une brise de vent éteigna la torche et prit d'un souffle sa vie . Selon la coutume, le lendemain le conseil des anciens alla sur une colline proche guettant le vol des Rapaces annonçant que un Nouveau chef devait régir le clan.

Mon frère prit cette responsabilité après plusieurs jours d'attentes durant lequel il exprimait son attente de "prendre enfin le pouvoir" .

Rapidement il changea les coutumes de clan, les matriarches étaient exclues du conseil des anciens, et la chasse devenait journalière, ils considérait qu'il fallait enfin se saisir d'une richesse à portée de main. Le clan était enthousiaste à la vue de vivre sans le besoin. Je n'approuvait pas ce choix, contraire aux traditions du respect de l'équilibre de la nature et non de son pillage.

Du haut de mon 17 èm printemps, peu écouter par mes frères, je défia le chef dans un combat loyal, le vainqueur devenait ou restait chef, le perdant ...
Le combat prit rapidement cours, je tenda mon bâton et m'entrava misérablement. Je pense que les esprits ne voulaient pas ma victoire et c'était mon destin de partir.

L'exil se traduit encore pour moi pour l'oublie d'un clan qui a rejeté nos traditions. J'erra dans ce désert de sel, ne suivant que les signes que les animaux laissaient sur la route. Alors que je n'avais plus, ni eau ni nourriture, au coucher du soleil et au levée de la nuit, la brume s'épaissit brusquement et j'ailli un geyser d'eau douce. Le ciel était noir et j'avais l'impression que on me surveillait. Les esprits s'etaient-ils enfin accordés à m'aider ?

L'esprit de la Lune et du Soleil me guidait, depuis je croie en leur salut et prie à leur levée quotidien.

Grâce à cela, je pus rejoindre un camp de Gobelins, je ne les connaissais pas et pourtant ils allaient devenir ma famille. Il 'm?offrit l'hospitalité en échange que je les aident. Ils me cantonnèrent dans des travaux manuels, je remplaçais leur machine disait-ils. J'oublie mon clan dans le travail et l'aide à mes frères. Rapidement mon sérieux était apprécié et ils acceptèrent de me donner une caravane pour commercer.

Je suis depuis une commerçante ambulante. Ce n'est pas que j'aime l'argent, je donne la plupart aux victimes des centaures. Ce que je préfère, reste la nature et parler aux animaux.

Bref, je fais la liaison Ratchet-Gadgetzan et sert de relais à la vente de produits gobelins sur les Terres Taurens. J'aimerai un jour partir sur les mers avec eux et découvrir Undermine. Les Gobelins m'ont fais apprendre les évolutions du monde et m'ont fais prendre conscience que malgrès nos différences,le commerce pouvait nous rapprochait tellement qu'il etaignait la volonté de la guerre.

 
La clairvoyance de Rexxar
La clairvoyance de Rexxar

Le secret. Ce mot est sur toutes les lèvres, bouches, orifice squelettique verbal des réprouvés : la découverte du secret. Comme une lâme de fond venue du fond des âges, un sentiment essentiel pour une Tauren, traverse l'esprit de Razkan : Comprendre le sens du monde et ses mystères.

Son secret à elle, est bien moins important au regard des bouleversements qui déchirent le monde.


Elle l?avait exprimée à Eikahe, un fièr guerrier Tauren . Un de ses rares contacts avec les sédentaires Taurens. Elle trouvait les esprits perturbaient.

Sa lecture de ces derniers lui disait que l'ordre de choses était la guerre dans le monde. Que les esprits pouvaient agir directement dans les conflits actuels mais qu'il ne le ferait jamais. La clé appartenait à ceux, shamans ou autres, tel Razkan qui parlait aux esprits de guider les générations vers le chemin qui leur semblait juste.

Ainsi ne pouvant croire que ces derniers ne ferait rien si nombre de shamans voulait la guerre avec l'Alliance, elle voulu percer le monde des esprits. Une voix inconnu et sûrement périlleuse.

Depuis cela fait plusieurs semaines, de nombreuses semaines qu'elle n'a pas vu la Civilisation parcourant des terres rocailleuses, celle des Serres-Rocheuses puis les terres de Desolace en direction de la vérité. Elle en est certaine que la vérité se trouve toujours là ou on ne l'attendait pas, elle nous fauche par surprise bouleversant notre destin.

En effet, alors que à l'accoutumé elle contemplait le ciel, priant pour les esprits créateurs de Anshe et Musha, elle eut une vision. La dernière fois que cella lui était arrivé, c'était avant de rencontrer les Gobelins perdue dans le désert de Tanaris. Un changement de cap majeur dans sa vie. Une nouvelle vision risquait d'être de toute importance.

Un Ogre, un orc tout à la fois marchait seul avec un grand Ours dans Desolace et disant que cela faisait trop longtemps qu'il n'avait pas rejoins la civilisation. Les paroles de ce demi-ogre étaient remplies d'espoir et de croyance en les esprits.

Depuis cette vision, elle marcha longtemps. Elle réflechissait parfois aux paroles des Somptua sur les Dragons et la paix. Pour elle, c'etait difficile de croire à des Dragons même si elle respecta leur croyance et le lien etroit entre esprits et Dragons ne fit guère de doute pour-elle maintenant. Ne connaissant pas la région, elle ne put se guider que à l'écoute de l'esprit de la Terre-Mere pour trouver un chemin.

Fatigué, elle vit enfin cette créature ! La joie et l'espérance comblait la fatigue visible à ses cheveux mouillés par la sueur et à ses sabots très mal en point et saignant par endroits telle un bidon d'eau percé.

Ish-nu alo por-ash Taurenne. Bienvenu ici. Je suis Rexxar dernier fils du Mok'Nathal. Ces terres sont à la fois riches et remplies de menaces.

Razkan fatigué, se releva car elle était courbée comme un Troll. Elle devait prendre son faible courage à deux mains pour oser déranger Rexxar plus longtemps que le temps de la simple courtoisie.

Salutations Rexxar. Moi Razkan Eaglehter, du clan du même nom vient te voir en paix dans le but de percer le chemin des esprits.


Rexxar, curieux, lui demanda si la fatigue n'avait pas affaibli Razkan au point de croire que Rexxar détenait les secrets des croyances de la Horde.

Elle répondit :

Je ne suis shaman, je suis encore nomade au contraire de mes frères. J'ai quitté nombre de fois la Civilisation pour réfléchir sur le sens de la vie. J'ai appris dans ma jeunesse la voie de la chasse. Mais depuis j'essaye de dompter les esprits, et eux me dirent que vous, Rexxar être la personne adéquat.

Rexxar, calme, d'un ton froid mais polie :

Taurenne, tu est bien loin de connaitre les esprits si tu croit pouvoir les dompter ! Avoir les esprits dans son âme, c'est un tempérament, un flux psychique qui dépassera tout le temps les limites de la raison, c'est une symbiose telle une ruche d'abeilles. Reprend ton chemin Taurenne.

Razkan qui ne voulait pas avoir voyagé pour rien, puisât au fond d'elle, dans son caractère trempé mais rarement visible et dit tout en souriant pour user de son charme:

Dompter les esprits non ! Mais Apprivoiser si les esprits l'acceptent !

Rexxar impatient d'en finir, prix le taurau par les cornes et accepta d'écouter brièvement la vie de Razkan et sa vision surtout.
Rexxar comprit que il partageait avec Razkan autant de choses qui les rapprochaient et qu?ils les séparaient. Rexxar sentait bien ces temps cis que quelque chose devait arriver : c'était elle, sa venue.

Razkan resta plusieurs semaines dans le camp. Rexxar ne parlant avec elle que au fruit de rencontres aléatoires dans le camp. Razkan apprit nombre de choses sur la manière de apprivoiser la nature en tant que chasseuse. Sur l'aide de Rexxar envers la Horde. Sur la sagesse a avoir envers les esprits.

Un matin. Razkan se leva. Elle pria comme à son habitude. Et là un sentiment de plénitude la remplissait. Son regard vis à vis de la Nature avait changé, un regard romantique, les yeux mouillés reflétait son émotion. Ses yeux noisette en fixant le doux loitain brumueux du matin que si levait doucement, perçait une lueur orangée au loin. Le soleil se levait mais pour elle, c'était bien plus. C'était un élan nouveau dans son lien spirituelle avec les esprits. Elle avait percé, la raison de sa venue envers Rexxar : Elle devait suivre la voie du Druidisme.


Elle quitta le camp, sans dire au revoir. Rexxar ayant bien autres choses affaires et avait déjà perdu trop de temps avec moi se disait-elle. Elle allait retrouver les Tarides enfin...ayant percé son secret à elle.
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Le rite d'Anshe
Le Rite des Anciens de Cénarius



La lisière du ciel, là ou les vents chassent les nuages telle un bébé soufflant les mousses de savons de son bain, et là ou l'esprit créateur de Musha illumine les plaines verdoyantes de Mulgore.



Le regard framboise de ses yeux écarquillés devant ce spectacle la transporte dans une sensation de plénitude, non, elle n'a pas fumé un calumet pour les esprits remplis de baies sauvages à l'effet hallucinogène. Seulement, elle perçoit ce qu'une Druidesse avisé ou un vieux Shaman aperçeverait en détaillant de son regard curieux e le paysage éclatant d'une fin de journée.



Ce n'est pas seulement, un vulgaire coucher de soleil, annonciateur de l'ascension de la Lune dans notre espace de perception. C'est bien plus, c'est le passage de témoin entre les deux grands esprits anciens, Musha le Soleil et Anshe la Lune; en langue natale Tauren. Ces esprits ont façonnée le monde, Razkan connait des légendes qui même aux yeux de ses confrères druides apparaissait comme des affabulations, ces légende s disant que Cénarius à un lien de parenté avec ces esprits créateurs, que lui-même à participé à l'éclosion de la race Taurenne. Mais ces légendes, faute de preuve écrite, restent des histoires que entre générations on s'échangent au coin du feu et des rites de la Terre Mère.



Ainsi, ce coucher de soleil marquant la fin de la décade est lourds de sens. Pour Razkan les esprits de Anshe et Musha s'affronteront encore, spirituellement, pour décider de la durée de l'éveil de la vie et de la douce nature ou de son hibernation.

Les lumières orangées côtoient dans le ciel assombri, les premières étoiles qui scintillent à intervalles irréguliers, dansant avec les Deux Lunes visible en Kalimdor. C'est un doux spectacle, difficilement compréhensible pour les non-initiés.



Elle trace avec son Bâton de Rite de la Lune un cercle sur le sable fin de la colline de Mulgore. Puis pose son bâton pour former une colonne vertébrale à l'intérieur du cercle. Razkan sort 4 bougies. Chaque Bougies symbolisant les saisons. Elle allume les bougies et s'agenouille et commence sa transe en utilisant un vieux langage Tauren rappelant certaines syllabes des Elfes de la Nuit.



[Ancien Taurahe] Misha ana Anshe, dansha en quapuera una Malorna Baranja, Fallah-nah una Década A'shi La via continua ! ]



Le Soleil, accéléra soudainement sa chute dans sa fin de journée, telle une étoile filante. Le ciel étoilé et bleu de la nuit prit ses beaux atours avec une rapidité déconcertante. Ce coucher du soleil, cette levée de la Lune si abrupt marqua l'arrive de la nouvelle décade.



Razkan avait accomplies sa tache. Elle sentait que en Kalimdor, d'autres Druides accomplissait le même rite, chacun avec sa coutume mais le même profond respect envers le cycle de la vie.
 
Le voyage du Totem
Le voyage du Totem

L?énergie vitale coule dans chaque être, ce flux, ce drain à toute vie, transperce le corps de toutes êtres. Les esprits terre à terre appelle cela du sang, j?appelle cela de la sève.

Dans notre écorce, là où la sève coule, le c?ur palpitant tel le bourdonnement d?une guêpe fait circuler la sève, rendant notre esprit conscient, fort et épanoui. Nos branches, nos mains peuvent s?aguerrir au fil du temps au contact de l?extérieur. Mà sève haletante, veut vous narrer quelque chose, écoutez attentivement.

Ce soir, c?est une légende épique, pas celle d?un jeune orphelin devenant le sauveur de l?humanité et épousant la princesse du duché local. Bien plus. Votre esprit, à ce conte, à cette histoire, que dis-je ? À cette légende voyagera dans la conscience de la Nature et des esprits qui y habitent. Vous pensez baguenauder dans les doux pâturages pour seulement ramasser des fleurs, alors que vous venez de participer au grand tout, au grand équilibre, involontairement, jouant votre rôle dans la nature, vous avez contribuée à l?existence de notre monde, au maintient de la Terre et de ses êtres.

Ils sont peu loquaces, les esprits de la nature dédaignant à enfreindre notre plan de conscience et à oser nous parler. Seul les plus méritant peuvent sentir le palpitement, la sève du fonctionnement de la Terre-Mère. Un ancien esprit l?a fait, et continue à le réussir, ceci avec le plus grand soin envers la Terre-Mère.
Ce Vénérable Tauren est connue de tous et de toute, par delà les mers et il est respecté par ses choix justes. Il tient dans ses grandes mains, aux paumes tissées par le grand âge, un Totem.

Ce n?est point seulement, un vulgaire tron d?arbres arrachés à sa mère la terre pour en faire une arme. C?est l?esprit de l?arbre, de sa renaissance spirituelle dans un nouveau corps pour défendre ceux qui protègent la Nature. L?ancien arbre voyant sa fin proche, se laissant tomber les bras sur le sols, les castors récupérant ses bras pour en faire de solides barrages ; peut franchir le pont de son destin.

L?esprit guidé par la Terre-Mère va se défaire peu à peu, puisant dans sa sève, l?arbre appelle ses amis de la Nature. Un Druide ours vient accompagnée d?un druide-corbeau. Bah?al et Shuma, deux braves Tauren implorent la Terre de laisser l?arbre rejoindre le monde des conscients, ou plutôt notre plan de pensée à nous Tauren. L?arbre, seul, sans bûcherons, attend la lisière du jour, la lune monte délicatement les marches du soir, et le soleil danse avec elle, la saluant un instant et repart pour sa destinée créatrice pour mieux parfaire la vie, le lendemain. Le tronc gigantesque, de plusieurs dizaines de mètres tombe délicatement au sol sur l?herbe fraîche. Les Druides assistent à la scène stupéfait. L?arbre, avec une lenteur étrange, chute et ne se fracture que en deux endroits, laissant un tronc de 2 mètres 50 parfaitement coupés aux extrémités, une partie de sa sève à colorée le tronc de runes sacrée.

L?ancien esprit de l?arbre a rejoins sa nouvelle vie : le Totem

Cette scène est très rare dans nos forets. Il démontre la complexité de la conscience et du fonctionnement de la Nature. Ce Totem, qui est au fil des âges a permis nombre de victoires à cette ancien Tauren est toujours actif, pensant toujours.

Frère et S?ur Tauren. Amie de la Horde. Amie de la paix.

Quand vous passerez devant l?esprit du Totem, regardez celui qui le tient. Son c?ur est aussi droit que le tronc qu?il porte dans ses bras. Ce porteur de l?ancien esprit de la foret n?est autre que Cairne Bloodhoof.
 
Décade de l'Ours [1]
Une anecdote
Le blanc carrelé partager en plusieurs carreaux blanchâtres voit de son regard inquiet sa puberté se finir. Son esprit est simple et aime planer au grès du vent d'ouest sur la douce senteur des côtes du continent. Le parfum boisé enivrant toute la pièce de nuages d'eau de couleur turquoise remplisse l'écueil du vide laissé par le violeur de corps. Le balbutiement du profanateur devant lui, l'inquiète. Le temps du calme et de la jeunesse est fini. Elle découvre l'amour, les plaisirs charnels du corps, la joie d'une relations amoureuse. L'odeur suave et haletante de la pièce stimule leur amour.

Il sort de son écrin, l'élément qui pénétrera son corps. Elle attendait cela depuis sa jeunesse et elle s'y soumet.









Un brave Tauren utilisant sa plus belle plume d'oie à l'encre noir sur son dos l'accomplie. Ecrire après un bon bain dans le ruisseau est toujours plaisant. Enfin, elle devient elle-même : Une feuille de Papier vierge subissant une douce écriture.
 
Lune d'Agilité
Décade du Tigre
Décade du Singe
Décade du Faucon
Lune de l'Esprit
Décade de la Chouette
Décade de la Baleine
Décade du Lapin
Quatrième Ère [3]
Lune de la Force [2]
Décade du Panda [2]
Cauchemar chez la Reveuse
I ) Cauchemar chez la Rêveuse


A) La Grâce des cieux

Un fin filet de lumière traverse l'épaisse forêt chatoyée d'esprits légendaires, tous fils et fille de Cénarius. Avec des sabots lourds, la peau aussi clair que la lune, l'armure de cuir qui ne luit que au contact de ce filet de lumière, une Taurenne métamorphosée ; galope à toute vitesse pour oublier ce qu'elle va traverser .La Nuit est pleine d'incertitude et aussi bruyante que le jour pour cette druidesse servante de la Lune et croyante en Yzera la Rêveuse.

Un vert luisant marche sur les cieux enchantées, le corbeau vole sur les nuages, ses ailes déployées battent au rythme de la vie, c'est palpable, remuant l'air frais du matin. Le vent de face ralentie la progression de la druidesse dans sa forme de voyage. Les Nuages sont imbibées d'une lueur d'automne. Des feuilles argentées, ocre, argent, turquoise accompagne le corbeau cherchant sa voie dans cette forêt.

Après un voyage dans le rêve d'Emeraude, la taurenne avait sentit un contact tenue mais palpable lui demandant de lui ramener un objet pouvant aider la nuée de la Rêveuse : Yzera. Elle est restée songeuse à cette appel mystérieux, pouvant venir de n'importe quelle dragon de bas rangs, tout comme de la Tisseuses des rêves elle-même...Peut-être que son imagination lui avait tournée la tête, mais autant allez vérifier.

Ainsi elle bat ses fines ailes avec une grande queue noirâtre et un plumage noir à l'éclat métallique et bleuté. Le bec est long, puissant et légèrement crochu, les pattes puissantes, l'animal agile fonce vers le sol à toute vitesse telle un météore, telle une torche guidant son maître dans la pénombre de l'épaisse forets.

Le sol argenté subit le courroux de la druidesse. L'oiseau se pose sur un arbre calciné. Bizarrement la branche retrouve des bourgeons et une odeur mentholée parcours le lieu. Une brise se lève, des feuilles tombées de nulle part entoure la Taurenne qui retrouve le sourire
Razkan n'est pas membre du Cercle de Cénarius qu'elle juge formatée dans l'esprit. Pour elle, la majorité des Druides réfléchissent en terme de « puissance magique » et recherche plus la gloire ou la défense de leurs intérêts raciales que la quête de la communion avec la nature et ses esprits les moins coutumiers aux mortels.

Une immense masse bleutée est dans son sillage. Les flots ténébreux remplis de créatures reptiliennes flottent dans le fond de l'Océan. A Perte de vue, la mer lâche ses vagues. Un corbeau brâve le vent mouillée des salves humidifiés.


De toute part, après plusieurs jours de marche harassant pour le corps et source de réflexion pour l'esprit, l'immense autel est en vue. Une tour argentée, à l'architecture rappelant celle de vestiges d'ancien palais de Bien nés submergée par les feuilles chamarrés des arbres. La brise du lac chatouille délicatement les ailes de Razkan. Elle ne c'est pas trompée d'endroit. Elle survole non loin des restes de l'ancienne capitale Elfe de la Nuit d'Azharie submergée par l'eau depuis des siècles.

L'autel est une masse élégante, très blanche. La Tour est penchée, comme si une tornade ou un typhon avait frappée de face la structure. L'autel fait apparaître des balcons et des balustrades finement décorée de symbole représentant une nagas blanc de l'autel a laissé place a une tour jonchée de mousses et de coraux plus verts les uns que les autres. Au sommet de la tour, un autel explique la raison de sa venue. Un puissant cristal semble canalisez l'énergies des vagues de l'Océan caressant la tour. La Druidesse comprend que son énergie est ancienne et peut s'avérer utile.

Ses pattes s'accrochent à un lichen joncheant l'autel sur une petite balustrade, elle respira profondément l'air parcourant le lieu. Le vent laisse dans une odeur mentholée, et voit à l'intérieur un brasero, sans fumée sans chaleur, symbolisant bien l'aspect rudimentaire du lieu. Un brasero magique est pourtant présent, montrant que la magie est intraséquement liée ici.


B) Le Cristal des Lunes


Deux nagas sont dans une petite salle, l'une portent une lance aux stridents lacérés et pointues des deux côtés de l'arme. L'autre surveille un cristal transparent aussi grand qu'elle.

La Taurenne retrouva sa forme raciale, puis tendit ses mains en arrière appelant les éléments de la Nature à l'écouter. Les vagues de l'Océan à plusieurs centaines de mètres ne répondirent pas, razkan sentait trop de souillure de la magie profane des nagas, mais le vent restait fidèle à son cœur.

Une énorme brise de vent entra par la balustrade envolant la lance de la première sirène en dehors de l'autel, l'écho de la lance frappant l'Océan attira le regard perçant de la deuxième sirène. Cette dernière incanta dans sa langue un sort à l'allure simple : une boule de glace dévastatrice jaillit en direction de Razkan.
Fermant les yeux, tendant la paume de ses mains, son esprit demandant l'aide de la roche constituant l'autel. Subitement la roche sortit du sol de l'autel et emprisonna la boule de glace et la brisant en milles morceaux.

Sans son arme, la sirène la plus proche se lança à corps perdue contre la druidesse dans le but de la lancer par-dessus la balustrade et dans l'immensité des flots brassant la mort comme les vagues avec les coraux. Razkan se métamorphosa en tigre puis disparut telle une ombre. La sirène tomba avec un cri strident en contemplant sa chute dans l'Océan

La sirène protégeant le cristal, lança un second sort. Ne voyant où se cachait la Taurenne, du sol jaillit des piques de glaces, telle des stalactites couvrant le sol ou le tapis d'un fakir. La Taurenne poussa un crit de douleur en regardant de ses yeux framboise l'œuvre de la sirène. Son sabot empoigné par une pique de glaces, malgré le sang coulant sur le sol piquant, la druidesse récita une comptine qui fit sourire la sirène Naga.



« [Taurahe] Ash'ek Nok'ha All'jhia ! »

Les stalactites se transformèrent en miniscules tronc de bois, perdant leur enracinement dans le sol, les troncs tombèrent avec fracas sur le sol et telle une multitude de serpents se mouvèrent au centre de la pièce pour former un marteau. La Taurenne ramassa sa création et se lança comme un guerrier orc dans la bataille ! Avec sa foie dans les Dragons, elle se sentait invulnérable.

La sirène chercha à éviter la druidesse, qui tournoyait telle une fronde son marteau qui semblait incassable. La sirène commença une incantation qui se finit en postillons sur le sol mêlée à du sang vert gluant comme de la colle.

Le marteau avait littéralement broyée la mâchoire du reptile, cette dernière étourdit vacilla sur place. La Taurenne lâcha son objet sur le sol, de se main libre sortit une simple boule d'énergie électrique. Un sort des plus anodins à tous serviteurs de la Nature mais suffisant pour mettre fin à ce combat. Ce qui fut fait facilement.

Le cristal convoité était toujours près de l'autel au sommet de la tour broyée par les vagues mais son poids était tel que Razkan ne pouvait l'emmener. Dèja sous sa forme de voyage en corbeau, elle n'avait aucune arme pour ne pas la ralentir et la déséquilibrer en vol. Elle pourrait étudier le fameux cristal et le laissez-là. Le dragon de la nuée de Yzera dans le rêve cristallin n'avait guère été précis, et même l'esprit de la druidesse se demandait si elle n'avait pas embrouillé son esprit dans le rêve pour songer qu'un dragon demande de l'aide.

Ainsi, la druidesse regarda le cristal. A moitié aveuglée par sa splendeur, l'objet avait une aura magique qui tenait du mystique. C'était un cristal pur, non taillée par des humains ou des gobelins. L'objet aurait put être le bijou magique de Malygos. Regardant de plus en plus près du cristal, elle vit dans le cœur de l'objet du mouvement.

Des vagues dans un immense Océan. Fatiguant ses yeux, son corps semblée lui aussi proche de l'évanouissement à force de regarder l'artefact antique. Mais contemplant de plus en plus près le cristal, elle vit la lune avec une bouche très fine parlant à un cerf géant qui avait des traits d'Elfe de la Nuit.

«Non ! Ce n'est possible ! Je dois supputer ! Je pensais nos deux peuples liés par la culture
mais pas à ce point ! Serions-nous ? ! »


Razkan défailla et tomba dans un coma profond. Le cristal semblait protégée par son propre aura. Plus on observait sa magnificence, plus on perdant ses pouvoirs

Perdue au milieu d'un Océan remplie de Nagas. La Taurenne semblait avoir percée un secret historique impossible. Un secret qui intéresserait grandement les Elfes de la Nuit et ses sœurs Taurennes.
 
L'écho des Sin'dorei
C) L'écho des Sin'dorei

Une énergie rouge éclaira la salle, la druidesse toujours à terre restant inconsciente. Du cristal, ou plus probablement de son énergie, apparut un Elfe, qui ressemblait vaguement à un Elfe de la Nuit mais à l'aura magique invisible très ancienne.

Cette odeur de corruption fit réveiller Razkan, allongée sur le froid marbre blanc, ses pupilles s'ouvrirent et l'odeur d'une magie ancienne et corrompue par la haine la parcourait. Soudain, le regard de braise de l'Elfe lui apparut : un Sin'Dorei. Un elfe de sang richement vêtu d'une élégante robe pourpre, d'une orbe de la même couleur que le cristal.

Il semblait haineux contre la taurenne, comme agressée de l'action de cette dernière. Brandissant son orbe, murmurant en Thalassien une incantation, la taurenne fit un roulé -boulé sur sa gauche, comme si on roulait un tapis sur le sol pour éviter la boule de feu du Sin'Dorei. Se relevant, fermant les yeux une seconde, elle vit une simple branche de bois apparaître dans sa paume droite, telle une arme ridicule qu'elle brandit contre le gardien du cristal.

Razkan via le cristal et sa transparence avait perçue l'impensable, devait-elle vérifier et ramener une preuve de cette théoriede cette vérité inconnue de tous ?

Revenir au reflet, et défendre ce qu'elle a vu devant le cercle de Cénarius, on la prendrait pour une folle. Une preuve pour un mystère, rien de plus logique pour la fille du clan Eagleghter.

Lançant son bâton au visage de l'Elfe de Sang, ce dernier fit un sourire narquois et faillit rigoler du geste de son adversaire. Pourtant, le bâton se transforma en sable, aveuglant le regard du sorcier.

Razkan, regarda de nouveau le cristal. L'elfe de sang aveuglée ; son regard se perdait de nouveau dans l'artefact, le temps semblait ne plus s'écouler. Elle se sentait transportée, heureuse, béat. Le cristal attirait sans cesse son regard et sa vie, loin d'elle-même, loin de son corps physique.

Sa conscience voguait dans un royaume d'un vert très sombre, par endroit des taches noir semblait indiquer une faillele vide. OuiOui...C'était le royaume d'Yzera, de l'Aspect du Rêve, comme tant de Druides elle aprcourait le rêve d'emeraude. Mais un rêvecorrompue. Ceci Razkan ne le voyait pas, elle n'avait que la sensation du bonheur, et pourtant son esprit, son corps, son être était menacé de rester coincée dans ce Rêve corrompue.
Puis, des images lui apparurent. Très brève mais très clair. Un immense dragon Vert semblait guérir une forêt partiellement brûlée.

Oui ! C'était bien, ce qu'elle avait vu dans le cristal, la première fois.
La Gardienne des rêves aidait les Haut Elfe à guérir leur forêt. Oui ! Les Aspects délaissai les Elfes de la nuit et leur créature Nordrassil, contraire a la nature car non bénie par les Aspects. Se vengeait-ils en aidant les Haut Elfes? Peut-être, razkan le pensait en tout cas.

Alors que l'esprit de razkan risquait de se détacher de son corps à force de regarder ce cristal, son salut vient de son ennemie : l'Elfe de Sang, le Sin'Dorei.

Ce dernier poussa telle deux enfants dans une cour de récrée la druidesse. L'Elfe de sang incanta en Thalassien ; un sort de téléportation.

« Dallah'Quel'Thalas, Windflyer Eshu'allah »

Plus rienLe cristal et l'Elfe de sang avaient disparut de la pièce. Il n'y avait plus rien ! Aucune preuve pour ces confrères qu'elle n'estimait guère ! Rien ne prouvait que les Haut Elfes, en tout cas leur ancien royaume, était aidée par les Aspects. Pour la Taurenne, c'était une théorie effrayante :

« Ainsi, les Aspects aideraient des races corrompues par la magie depuis des millénaires ?
Ainsi, le rêve d'émeraude était corrompu comme nombre de druides dans le Cercle de Cénarius ?
Juste retour des choses »


Pour la Druidesse d'Anshe, de la lune, du regard de la Terre-Mère, il fallait convaincre. Druidesse solitaire, personne ne la croirait.

La Réponse se trouvait probablementà Quel'Thalas.
 
Décade du Gorille
Décade de l'Ours
Lune d'Agilité [1]
Décade du Tigre
Décade du Singe [1]
Chasse au Quel'dorei
Arrivé des Milles Pointes dans sa robe verdâtre déchirée, l'émissaire de Razkan Eagleghter arrive à Stromwind pour accomplir ses deux objectifs.
Le premier et le plus urgent pour sa maîtresse, kazran la messagère doit trouvez ces Quel'dorei qui se cachent dans la ville. Pour Razkan sa maîtresse, si ils se cachent c'est qu'ils doivent être les plus fanatiques, et donc en priorité à modérez pour qu'il ne rejoindre pas les Sin'dorei.

Ainsi depuis très peu de temps, une Kaldorei parlant bizarrement interroge des gens sur les Hauts-Elfes de Stormwind.
Des passants du quartier commerçant lui répondent quelques banalités "Ils sont tous à Quel'danil", d'autres villageois disent " Il en reste une poignée chez les sorciers". Certains enfants qui ont suivit cette jeune Kaldorei l'ont vu entrez dans le bureau de la capitaine de la Garde de Stormwind.
"Quel'dorei" se mot résonne dans la bouche de la messagère qui marche doucement, comme incertaine de trouvez les Haut-elfes qu'elles cherchent.
Elle se dit, que peut-être certains druides l'aideront, au Parc...

Un nom sort de ses recherches :"Amélie" Soi-disant la personne qu'il faudrait voir concernant les Haut-elfes. Alors, soit, kazran se dirige chez cette dame.

Kazran fit en cachette une courte visite qui ne pouvait que rendre plus méfiant ces gens. Elle ne savait pas encore très bien si beaucoup de Haut-Elfes étaient fixée dans cette demeure appartenant à cette Dame amélie que la capitaine des gardes lui avaient indiquée. Toutefois, en une seule ronde autour de la demeure, un humain blond d'une aura magique qui n'avait rien d'habituel l'avait marquée. La piste...était bonne. Encore fallait-il que la piste soit utile pour sa maîtresse qui avait envoyée Kazran comme sa messagère. Un soir viendra, ou enfin ils pourront débattre.

La nuit suivante, alors qu'un mariage avait lieu à la Cathédrale, le Quel'dorei amena Kazran dans un endroit sur, les catacombes du lieu Saint. Suite à un débat de formalité pour savoir qui était sa maîtresse et quelles étaient ses attentions, le Quel'dorei quitta la dame Amélie et un Mage de Theramore. Les choses sérieuses allaient commencer.

Kazran souria toujours très poliment à des remarques pourtant totalement inacceptables pour sa maîtresse et tout autre servante de la nature. Mais Razkan et sa messagère, n'étant pas du cercle cénarien, et cherchant tout ce qui attrait au liens entre Réprouvés et Elfes de sang comprit bien qu'elle ne pourrait être d'accord avec le Quel'dorei dénommé Syldur. Le problème de la magie posait problème, il fallait à tout prix le surpassé sous peine de tombez dans des arguments de revanchards du passé se balançant les affres des erreurs des deux races elfes.

Pragmatique, souriant avec peine quand le Haut-elfe lui dit qu'ils prendront la magie des Elfes de sang issue des démons, Kazran devait revenir chez sa maîtresse Taurenne avec du concret, mince soit-il.
Le Mage Syldur expliqua la situation de ses frères cachées, kazran était dépitée, ils étaient fort peu nombreux pour pouvoir modérez les elfes de sang de l'intérieur quand ils partiront de Stormwind.
Alors, kazran donna la promesse de sa maîtresse Taurenne :
Des vivres, de l'argent et des artefacts magiques seront à la disposition de tous les Haut-elfes qui seront au sein des Elfes de sang pour la paix entre les deux factions.

Après un débat courtois, quelques banales politesses de départ, Kazran était bien déçues, sa maîtresse le serait tout autant. Les Haut-elfes de Stormwind ne sont qu'une poignée, n'ont plus aucun pouvoir politique réel au sein de la ville, ainsi, ils seront d'autant plus affaiblis quand ils rejoindront les Elfes de sang, qui eux ne sont pas un gage de modération.

Mais, voilà que ressurgit sa deuxième mission. Trouvez la druidesse qui à aidez le brave Tauren Motassam dans sa légende familial : Duvnarel.
Razkan à conseillé à sa messagère de trouvez d'abord Sybil, la Kaldorei qu'elle connaît depuis leur débat sur les Elfes de sang.

En route...
 
Décade du Faucon
Lune de l'Esprit
Décade de la Chouette
Décade de la Baleine
Décade du Lapin